IGAI THE PLAY DEAD/ALIVE
Volume 2

Toujours piégés dans leur lycée, Akira et Furuchi tentent se simplement survivre, tout en gardant un oeil sur leur ami Umezawa, qui réussit étrangement à rester conscient pendant ses transformations ! Mais la situation ne s’arrange pas, toutes les 30 minutes une partie des lycéens se transforme en espèce de zombies anthropophages qui se jettent sur ceux qui ne sont toujours pas atteints par ce virus. Le chef des représentants d’élèves, Hojo, propose alors aux élèves infectés de se réunir dans le gymnase afin de ne plus menacer les autres lors de leur "changement", mais il a un autre plan en tête !

Par fredgri, le 22 novembre 2016

Publicité

Notre avis sur IGAI THE PLAY DEAD/ALIVE #2 – Volume 2

Ce second volume continue sur la lancée du premier en reproduisant pratiquement la même trame. Les lycéens sont attaqués par leur camarades qui se transforment par paliers de 30 minutes en espèces de zombies. Personne ne sait encore trop ce qui se passe, mais qu’importe il faut gérer la situation immédiate et donc essayer de régler ce problème d’agression. Pendant ce temps le héros, le jeune Akira, tente de protéger son ami Umezawa, tout en essayant de retrouver Kirumi, la fille qu’il aime et qui a disparu au milieu de l’hystérie collective.

Le scénario accentue cette impression d’extrême tension qui règne dans ce lycée, les élèves sont perpétuellement énervés, voir aggressifs, la situation dérape en permanence, et c’est en général, dans ces moments là, que tout vire à l’extrémisme le plus exacerbé ! Ainsi, pour trancher, Hojo décide de régler tout ça par la violence expéditive, quitte à s’aliéner une partie des élèves sains !

L’histoire reste assez basique globalement, on se contente pour l’instant de regarder les uns et les autres sans vraiment voir d’issue, sans entrevoir autre chose que davantage d’horreur. L’auteur accentue le glauque, tout en glissant néanmoins des éléments qui arrivent à accrocher le lecteur, à le sortir de cette montée en puissance. L’amitié ambigüe entre Akira et Umezawa qui rythme le volume nous tient en haleine, l’intransigeance de Hojo peut même fasciner par sa froideur et son implacabilité !

Donc même si ça n’avance pas des masses, il y a une légère évolution dans la trame ! Suffisamment pour nous donner envie de lire la suite !

Par FredGri, le 22 novembre 2016

Publicité