HOMME QUI REFUSAIT DE MOURIR (L')
L'homme qui refusait de mourir

Pour rendre service à sa sœur, Max va chercher son neveu et sa nièce en voiture, à la sortie de l’école. Toujours en proie à des malaises passagers, voilà qu’il perd connaissance alors qu’il est au volant, et le drame se produit : un accident à un carrefour.

Les trois victimes sont emmenées à l’hôpital. Max (qui aura une fois de plus fait mentir un premier diagnostic) et son neveu sont vite remis sur pieds. Par contre, et malgré que sa nièce est déclarée morte, il ne peut que quitter rapidement l’hôpital : les hommes qui le poursuivent sont toujours à ses trousses ; ces mystérieux hommes qui sont entrés dans sa vie en même temps que les phénomènes qui l’affectent – cette affaire demeure incompréhensible pour lui…

Max retourne chez sa sœur. A sa grande stupéfaction, il se retrouve nez à nez avec sa nièce. Cette prédisposition au miracle de la résurrection serait-elle familiale ?!? Ce n’est pourtant pas si simple : un cas similaire avait eu lieu sur la personne d’un petit garçon, à une centaine de kilomètres de là. Mais on n’en avait pas su plus sur le gosse qui est mort dans un incendie.

Le docteur Manguo a fait le rapprochement entre ces affaires et mène son enquête. Mais il n’est manifestement pas le seul à s’intéresser à tout cela : les ombres qui traquent Max semblent avoir trouvé une proie plus facile en la personne de sa nièce : sous ses yeux, la malheureuse se fait kidnapper, plongeant une nouvelle fois Max et ses proches dans le plus grand désarroi…
 

Par sylvestre, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur HOMME QUI REFUSAIT DE MOURIR (L’) #2 – L’homme qui refusait de mourir

J’ai été très positivement surpris par ce deuxième tome. Les phénomènes phare de la série (la résurrection, le vampirisme) ne se limitent plus à un seul personnage. L’histoire prend ainsi plus de volume en laissant possibles de nombreuses suites. On n’en perd pas de vue pour autant l’intrigue qui fut l’étincelle de départ, ce différend entre Max et ses collègues. Ceux-ci nous apparaissent par contre de plus en plus comme servant une cause toujours un peu floue pour le lecteur.

Le dessin réaliste reste bien plaisant, toujours bien dans le ton d’autres titres de la collection Grand Angle et j’ai trouvé la mise en couleurs meilleure que dans le tome 1. C’est Maëla Cosson qui la signe et non plus Fabien Alquier. Au final, je ne suis pas déçu d’avoir poursuivi l’aventure en achetant ce second tome et j’attends maintenant avec beaucoup plus de confiance la fin du cycle : le tome 3 sera en effet très important vu qu’il devra répondre à beaucoup de questions qui jusque là nourrissent encore (bien) le suspense !

Par Sylvestre, le 9 mai 2006

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