HOMICIDE, UNE ANNÉE DANS LES RUES DE BALTIMORE
22 juillet - 31 décembre 1988

1988. Pellegrini continue d’enquêter sur l’affaire Latonya Wallace. Le detective Waltemeyer se charge de cette affaire de meurtre en série dont le tueur s’est acharné à tenter d’abattre une droguée, Dollie Brown, mais celle ci s’accroche à la vie…

Par berthold, le 30 décembre 2020

Publicité

Notre avis sur HOMICIDE, UNE ANNÉE DANS LES RUES DE BALTIMORE #5 – 22 juillet – 31 décembre 1988

Philippe Squarzzoni poursuit son enquête au sein du quotidien de ces inspecteurs de la ville de Baltimore.

Nous sommes entre juillet et décembre 1988. Nous suivons ces policiers sur diverses affaires de crimes, des affaires qui seront résolues, d’autres qui prendront du temps, d’autres qui ne le seront jamais. Nous retrouvons Pellegrini qui s’obstine à faire parler ce suspect, un poissonier, dans l’affaire Latonya Wallace. Nous découvrons aussi cette étrange affaire d’un meurtrier en série et les raisons pour laquelle il commettait ces crimes.
Squarzoni nous raconte tout cela avec talent, nous plongeant dans la tête de ces inspecteurs, nous menant à la recherche du moindre détail pour permettre d’arrêter ces criminels. Il prend son temps. Nous sommes loin d’une affaire réglée en peu de temps comme dans ces feuilletons TV façon les experts !

Son dessin est précis, efficace. Il n’en fait jamais trop et montre l’essentiel. C’est amplement suffisant pour nous plonger dans la tête de ces hommes, de ces policiers. Le style reste percutant et marque bien les esprits. Baltimore ressort bien dans cette épure des décors de la ville.

Un tome 5 prenant, réussi, qui donne envie de découvrir le prochain épisode.

 

Par BERTHOLD, le 30 décembre 2020

Publicité