HK
Avalon

Avalon est une ancienne colonie terrienne qui a déclaré son indépendance depuis une cinquantaine d’années.
Malgré la répression sanglante que les troupes de l’Axe ont perpétrée à l’époque, un rapprochement s’opère entre les deux planètes, et l’Axe est autorisé à s’établir à nouveau sur Avalon.
La population apprécie diversement : Cedric et son cousin Karl, deux voyous, y voient l’occasion de voler du matériel qui leur rapportera plus d’argent que leurs petites combines actuelles ; Lola et ses copains, rejetons de ministres et autres hauts fonctionnaires, y voient une recolonisation cachée d’Avalon.
Ils décident de monter des actions terroristes, mais s’aperçoivent bien vite qu’ils n’ont aucune expérience du terrain et que monter un groupe révolutionnaire, c’est différent de ce que les romans racontent…

Par PATATRAK, le 1 janvier 2001

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2 avis sur HK #1 – Avalon

Un excellent manga français !

Le dessin de Trantkat est très convainquant, sa manière de dessiner les machines est absolument bluffante.
J’aime beaucoup ce côté technique très recherché, au niveau des machines, des bâtiments… Cela permet d’évoluer dans un univers somme toute très crédible.

Le scénario aussi est bien conçu, même s’il n’est pas forcément original (par moment, l’Axe me rappelle l’armée terrienne dans Starship Troopers). C’est efficace en tout cas, les rebondissements foisonnent. Je ne me suis pas ennuyé une seconde!

Le seul bémol que je vois à cette BD (et ce n’est qu’une question de goût) se trouve au niveau des couleurs, faites à l’ordinateur je pense. Je n’aime pas trop, il y a un côté trop lisse, il manque le côté ‘léché’ de couleurs à l’aquarelle ou au pastel. Mais par contre, elles se fondent dans l’univers de Karl et Lola.

 Que cela ne vous empêche pas de le lire ! : o)

Par PATATRAK, le 18 janvier 2003

Morvan, le scénariste, reprend des idées classiques et déjà éprouvées, dans ce premier tome, et Trantkat dynamise l’ensemble. D’ailleurs, on retrouve la même façon de dessiner les jolies pépés que dans Tutti Frutti, avec des formes un peu accentuées, et du lisse partout.

Les couleurs pourraient ne pas être agréable, car comme le souligne Patatrak, elles doivent être réalisées à l’ordinateur. Mais là ou HK tire son épingle du jeu, c’est que ces couleurs semblent être faites par un dessinateur digne de ce nom, qui ne se trompe pas dans les ombres portées, et les reflets. Cela peut déplaire que tout ne soit pas fait à la main, mais il faut être honnête, HK reste correct. Pas exceptionnel, mais correct. C’est rythmé, ça fuse, bref ça se lit avec plaisir, mais ce n’est pas forcement inoubliable.

Une bonne BD sans plus, attendons la suite…

Par Siam l'Archiviste, le 16 avril 2003

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