HISTOIRE SECRETE (L')
La guerre inconnue

Beyrouth, le 18 avril 1983.
Un attentat détruit l’ambassade des Etats-Unis, faisant de nombreuses victimes. La CIA perd quasiment tous ses agents sur place, excepté Robert Wheels dit Bob. Ce dernier est attiré par un objet, un pendentif étrange qu’il trouve dans les débris. Il va chercher ce qu’il signifie. Mais il va se trouver face à la peur des gens qui lui disent que ce pendentif est source de malheur. Alors qu’il rentre par une route abandonnée, Bob tombe dans un guet-apens. L’arrivée d’un homme va le sortir de là. Ce dernier se nomme Erlin et c’est l’un des Archontes. Il va donner un coup de mains à Bob…
Quant à Reka, il semblerait qu’elle soit devenue l’un des plus puissants narco-trafiquants, avec l’aide des USA en plus…

 

Par berthold, le 4 janvier 2012

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Notre avis sur HISTOIRE SECRETE (L’) #24 – La guerre inconnue

Cela devient de plus en plus prenant, cette saga qu’est devenue L’Histoire Secrète.

Ce tome 24 est vraiment prenant de bout en bout. Pecau arrive encore à nous surprendre avec ce récit qui nous entraine de 1983 à 1989, mais aussi dans le passé grâce à quelques flashbacks habiles.
Le scénariste fait entrer un nouveau "joueur" nommé Oussama Ben Laden. Il s’intéresse aussi au rôle joué par la CIA et les USA dans le trafic de la drogue en Amérique du Sud. Il commence son récit par l’attentat de Beyrouth en 1983 pour le terminer sur la chute d’un certain mur en passant par l’Irangate. Dans tout cela, il met en scène les Archontes Erlin et Reka, qui vont découvrir qu’il y a une autre menace plus grande qu’eux derrière tout cela. Le suspense est à son comble, dirais-je, et on a hâte d’avoir en mains le prochain tome pour découvrir tout cela.

Igor Kordey signe toujours un dessin efficace, net et précis qui ravira les fans de la saga. Il met en scène quelques scènes spectaculaires, pour que le lecteur en prenne plein la vue !

Un tome important dans cette série, qu’il ne faut pas rater. Il parait que Pecau terminera sa série au bout du 32ème tome. Nous ne sommes pas au bout de nos surprises…

 

Par BERTHOLD, le 4 janvier 2012

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