HISTOIRE SECRETE (L')
L'Aigle et le Sphynx

Fin du XVIIIème siècle –

C’est l’après Révolution Française. Dame Aker soutient la jeune République. Elle soutient aussi un jeune homme, un jeune officier en qui elle voit l’avenir de la France et le salut de l’Europe. Son nom : Bonaparte.
Erlin est du côté des Anglais. Il sait ce que Bonaparte va apporter au monde. Il envoie un de ses agents, Smith, pour s’occuper du futur empereur Napoléon.

Par berthold, le 1 janvier 2001

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2 avis sur HISTOIRE SECRETE (L’) #6 – L’Aigle et le Sphynx

Plus on avance dans les tomes, plus cette série me plaît. 
Chaque tome est meilleur que le précédent.
Ici, l’histoire commence en 1793 : on est en pleine Terreur. Et la guillotine fonctionne très bien en France.
On retrouve le personnage de Dame Aker et Erlin qui s’affrontent pour savoir qui a raison au sujet de ce Bonaparte. Aker soutient la République  tandis que Erlin, lui, travaille pour la couronne anglaise. Et c’est par le biais de leurs agents respectifs, Sir Sidney Smith pour Erlin et le Chevalier Lascaris pour Aker  que l’on apprend l’enjeu de ces "batailles" au fil des années. Puisqu’on va se retrouver durant la campagne d’Egypte. D’ailleurs, un des meilleurs et plus beaux moments de cette saga.
L’intrigue de Pécau est vraiment prenante, passionnante et instructive : c’est aussi une belle leçon d’histoire. On a envie d’en lire plus même.
Tiens, on croise aussi Alexandre Dumas père.
Quand au dessin de Igor Kordey, jamais il n’aura été aussi bon. Les planches de cet album sont toutes superbes.Il n’y a rien à redire.
D’ailleurs, si cela vous a plu, il ne faudra pas rater la nouvelle  série signé Pécau et Kordey en octobre 2006 : Empire. Ils ont l’air d’être vraiment inspiré par l’époque de Napoléon.
La couverture, des plus magnifiques, est l’oeuvre de Vatine et Manchu.
Saluons aussi le travail d’Etienne Le Roux pour l’illustration intérieure.
Alors, il ne nous reste plus qu’un tome à se mettre sous la dent pour connaître la fin de l’Histoire secrète. Une saga qui nous aura tenu en haleine pendant une année. 
A suivre…

Par BERTHOLD, le 28 août 2006

Cette série est vraiment très bien… Même si j’en viens à relever quelques erreurs, le scénario reste fidèle à la série : prenant du début à la fin de la lecture…

Le constat d’erreurs se situe dans la corrélation dates-événements de l’histoire réelle et de l’histoire narrée… je m’explique…

le scénario commence à Toulon en 1793 puis continu en 1796 dans la prison du Temple à Paris avec l’évasion de Smith, première erreur, il s’est évadé en 1798, mais cela ne change rien à la trame. Ensuite nous retrouvons Lascaris en Egypte le 24.12.1799 à la recherche de données pour fabriquer des cartes… Napoléon, dans le même temps, se trouve à Sainte-Catherine avec guillaume de Lecce le 28.12.1799… juste que là tous va bien, on nous dit que Lascaris est absent depuis longtemps quand celui-ci viens voir Conté pour qu’il dessine ses cartes… soit, si 4 jours cela fait longtemps ! cela se complique quand à la page d’après on reviens à la prise de Jaffa 9 mois plus tôt au alentours de 03.1799… Puis ensuite deux mois plus tard, en 05.1799 à Saint Jean d’Acre durant son siège… Et là, tout un coup, après nous avoir dit que la scène se déroulait "Plus tard" dans la même ville, Napoléon demande à Lascaris de lui donner les cartes… Vous commencez à comprendre ! Ensuite Caffarelli meurt au combat en 05.1799 (au lieu de 04.1799) et Phélippeaux par les flammes le même jour que Caffarelli (c’est mieux que de la peste, comme cela est dit dans les livres pour phélippeaux) !

Alors, conclusion, comment fait Lascaris pour sortir de son "chapeau" des cartes qu’il n’a pas encore trouvées ?

Par Meta.X, le 3 septembre 2006

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