GUNNM LAST ORDER
Tome 12

Gally est de nouveau opérationnelle, mais alors qu’elle est parvenue à vaincre le redoutable participant de Jupiter, Trinidad décide de mettre elle et son équipe aux arrêts. Arguant que Gally et son équipe ont mis en danger la vie du public, il passe à l’offensive. Mais il découvre que la nouvelle Gally est plus redoutable que jamais. La plongée dans Ourobouros a non seulement doté Gally d’un nouveau corps mais également d’un nouveau cerveau. Désormais la puce cerveau a fusionné avec la fata morgana et la puissance et la rapidité de Gally sont décuplées.
A contre coeur Trinidad décide de poursuivre le ZOTT et cède aux revendications de Gally. Si jamais son équipe gagne le tournoi, Zalem et la décharge seront considérées comme des zones indépendantes, ce qui est mal vu par les puissances en place.
De leur côté, Tohji et Zekka cherche des remplaçants pour leur équipe, qui doit affronter les redoutables guerriers vénusiens. Et une guerre du Karaté se déclenche afin de trouver les parfaits combattants.
 
 

Par eric, le 24 juillet 2009

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Notre avis sur GUNNM LAST ORDER #12 – Tome 12

Ce douxième tome nous permet de retrouver la petite bouille de Gally non sans une certaine nostalgie. Si son nouveau corps donne une nouvelle perspective au futur déroulement du tournoi, on reste un peu sur notre faim. En effet, une Gally retrouvée et un Tohji qui délaisse le karaté pour la méditation, on assiste à un épisode assez pathétique avec cette guerre du karaté. Phonétiquement parlant cette épisode porte bien son nom, il se veut une bataille rangée burlesque et risible avec des personnages appartenant à des écoles improbables comme dans l’animé Muscleman de notre enfance. Cela a-t-il sa place dans Gunnm? Sans doute, à vous de juger.
A côté de cela, on est de nouveau pris dans au jeu de la géopolitique avec les manigances de Trinidad qui est prêt à tout pour mettre la main sur la Fata Morgana qui lui permettra d’avoir un contrôle absolu.
Ainsi, ce tome plein d’espoir suscite un petit jugement mitigé. S’il n’y avait pas ce cas raté il aurait pu être plus passionnant. Il se lit toutefois avec un certain plaisir mais sans plus.
 

Par Eric, le 24 juillet 2009

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