GTO
Tome 4

 
Onizuka a humilié des élèves, mais c’était en utilisant leurs méthodes et pour en venger un autre qui était leur souffre-douleur et qui avait tenté de se suicider. L’émotion fut donc forte lorsque, lors d’une réunion de parents d’élèves où devait être discuté son renvoi, la mère de l’une des filles qui portaient plainte contre le jeune professeur avait dû ravaler sa haine…

Onizuka était vraiment un professeur redouté par ses collègues et sa hiérarchie tant il était différent des autres et extravagant au-delà de l’entendement. Même ses cours semblaient vraiment être du grand n’importe quoi. Néanmoins, ses méthodes le rapprochaient de ses élèves, et même ceux qui continuaient de vouloir lui nuire finissaient par se prendre les pieds dans les filets qu’il leur tendait !

S’il était un professeur qui voulait se mesurer à Onizuka pour que soit reconnue sa supériorité sur lui, c’était Fukuroda, un prof de sport. Les deux hommes se mirent donc en concurrence à la natation et à la course sous le regard de nombreux élèves, mais l’épreuve qui les départagera sera autrement originale : relative à un piège tendu à Onizuka par des élèves filles désireuses de le prendre en photo en flagrant délit d’attouchement sur une autre élève servant d’appât…
 

Par sylvestre, le 6 novembre 2011

Notre avis sur GTO #4 – Tome 4

 
Ce quatrième tome de la série GTO impose un rythme qui devrait ressembler à un rythme de croisière pour la suite, se divisant en plusieurs chapitres quasiment indépendants mettant le héros Eikichi Onizuka dans des situations qu’il doit gérer, orchestrer ou démêler. Ainsi, on en compte trois principales dans ce volume : la suite et fin de celle qui clôturait le tome précédent (relative à la tentative de suicide de l’élève Noboru Yoshikawa), l’épisode de défi et de mise à l’épreuve autour du petit groupe auquel appartient l’élève Murai et enfin la partie mettant le GTO en compétition avec le professeur de sport (autre prof-attiré-par-ses-élèves-filles s’il en est !) ; ceci avant l’amorce d’une quatrième partie qui trouvera son dénouement dans le tome 5.

Rythme de croisière trouvé, donc, et péripéties toujours aussi folles pour le héros dans le contexte scolaire qui fait celui de la série. Et tout cela avec une multitude de petites croustillances : des gags plutôt pipi-caca, par exemple – il faut rappeler que tout héros qu’il est, Onizuka n’est pas un ange ! – ou encore des références à d’autres manga (Ken le survivant, Ashita no Joe, Doraemon…)

Tome pêchu et promesse de continuité pour la suite : quand on est dedans, on a envie d’aller voir plus loin ce qui peut encore se passer !!!
 

Par Sylvestre, le 6 novembre 2011

Publicité