GREEN LANTERN (VF)
Sinestro

(Green Lantern 1 à 6)
Hal Jordan a perdu son anneau de Green Lantern, qui lui a été retiré par les Gardiens de l’Univers.
Il redevient un "civil" comme les autres, sur Terre, il essaye alors de renouer avec Carol Ferris.
Mais les Gardiens, pendant ce temps, ont nommé Sinestro, l’ennemi juré de Hal, comme remplaçant !
Sinestro décide alors de rendre à Jordan son anneau, à une seule condition : qu’il se rallie à lui…

Par fredgri, le 3 juin 2012

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Notre avis sur GREEN LANTERN (VF) #1 – Sinestro

Flashpoint vient de se terminer, DC décide de relancer la machine en rebootant globalement tout son univers… Excepté Batman, la Legion et… Green Lantern. La Legion étant suffisemment complexe comme ça pour ne pas aller nécessairement tout reprendre à zéro, Batman et Green Lantern étant les deux franchises qui marchent le mieux chez DC (Geoff Johns, le scénariste de GL, étant devenu entre temps l’un des grands pontes du staff de la boite, on imagine qu’il fait un peu ce qu’il veut…).

Pendant ce temps là, la "War of Green Lantern" vient de se terminer, laissant Hal jordan destitué de son anneau.

On appréciera donc le parallèle avec les vrais début du personnage qui se retrouva jadis sous la coupe de Sinestro qui joua le jeu du mentor, celui qui allait permettre à Jordan de prouver sa valeur… Bref, le schéma se répète, mais pourquoi pas. Johns continue dans sa lancée, personnellement je suis encore assez fan même si je trouve que pour le coup ça commence à bien se répeter. Toutefois travailler et inverser le rapport de force entre Sinestro et Jordan est intéressant, cela permet de redistribuer les cartes et d’avancer sur des voies différentes. Par contre Hal/Carol c’est juste redondant à force…

Un premier album qui se dévore tout de même, parce que Johns a le sens du rythme, qu’il sait installer et faire durer une tension et que décidemment les histoires de Green lantern n’auront jamais été aussi inspirées que depuis qu’il en est le scénariste. Peut-être peut on lui repprocher encore une fois une propension à la radicalisation, et du coup un manque de subtilité, mais c’est vite oublier aussi que bon dieu "ça envoie du bois" !

Graphiquement, Doug Manhke est encore une fois en pleine forme (bien plus que ce qu’on peut voir de Mike Choi, mon dieu !) et chaque planche explose littéralement avec des visages ultra expressif, de l’action, de l’énergie !!!

Un premier volume qui va peut-être voir, en parallèle la publication de ce qui a précédé, les hasard de la traduction chaotique !

Par FredGri, le 3 juin 2012

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