GIGANT
Volume 2

Maintenant que la belle Chiho est à nouveau célibataire, Rei lui demande d’être sa copine. Après quelques hésitations, elle finit par accepter, malgré la différence d’age et le métier qu’elle exerce. Leur relation s’enflamme passionnément, mais les parents de Rei veillent au grain… Quand soudain, comme il a été annoncé sur le site "Enjoy the end", une sorte de dieu apparait dans Tokyo et commence à détruire la ville. Chiho décide d’aller protéger celui qu’elle aime…

Par fredgri, le 10 novembre 2019

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Notre avis sur GIGANT #2 – Volume 2

Il y a une sorte d’ambigüité avec cette série.
Le concept est intéressant, une jeune femme peut dorénavant faire varier sa taille, mais c’est encore plus intrigant quand il s’agit d’une magnifique actrice de films X avec une poitrine extrêmement avantageuse… On imagine aisément les dérapages qu’il peut y avoir…
Cependant, dans le premier volume, l’auteur arrivait à équilibrer tous les aspects de son récit, qu’il s’agisse du soap, de l’action, du fantastique et même l’érotisme. Ce qui n’est plus forcément le cas ici, cette fois, il accentue la relation entre Rei et Chiho sur pratiquement tout le volume, il faut attendre le dernier quart pour retrouver la fibre fantastique. Oku n’y va d’ailleurs pas par le dos de la cuillère en montrant carrément la jeune fille nue, surplombant les immeubles et traversant la ville…
On laisse donc pratiquement de côté le rapport que peut entretenir Chiho avec son nouveau pouvoir pour ne se concentrer, globalement, que sur la relation physique entre les deux protagonistes…

Bon, ça reste malgré tout gentiment démonstratif, n’exagérons pas, quelques scènes de nues, au lit ou cette fameuse séquence finale, toutefois, Oku insiste sur la plastique de Chiho, sur ses "particularités" qui font, devrais-je dire, tout le "charme" de cette série jusque là. On espère juste que l’auteur creusera davantage son scénario et l’aspect surréaliste ! De même que cette histoire de site web et cette étrange structure transparente qui tourne autour de la Terre… Car, certes, c’est agréable de voir cette belle héroïne s’ébattre de la sorte, mais ça n’apporte jusque là pas grand chose au récit, si ce n’est un élément troublant et coquasse !

En attendant, encore une fois, Oku tient une bonne idée. Il a juste tendance à délayer son intrigue, presque inutilement, au point ou le numéro se lit toujours aussi vite !

Le cliffhanger donne néanmoins très envie de vite la suite.

Donc rendez-vous en février prochain !

Par FredGri, le 10 novembre 2019

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