GIACOMO C.
Boucle d'Or

Giacomo C. n’a plus les moyens d’entretenir sa maîtresse qui le quitte. Devant une telle désolation, il part noyer son chagrin au café. C’est là qu’il se rend compte (quelques verres aidant) que s’il en perd une , alors toutes les autres lui seront accessibles.
Dans ces conditions, le moral remonte bien vite et le voilà, fier et provocateur lorsque le cri de Mimi sa souris le fait bondir et se bagarrer avec l’écraseur de son compagnon à poils ras.
Entre temps Parmeto, son fidèle, devient garde du corps d’une très belle femme qui fera bien vite chavirer les sens du bellâtre.
Les intrigues amoureuses et les courses poursuites reprennent, pleurez jeunes filles, le séducteur n’a toujours pas dit son dernier mot !

Par MARIE, le 1 janvier 2001

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2 avis sur GIACOMO C. #14 – Boucle d’Or

Et voila une nouvelle aventure de notre venitien GIACOMO C.
Dufaux cree une nouvelle intrigue amoureuse, de duels, et d’ennuis pour giacomo…tres bonne intrigue ce nouvel opus.
Que dire des dessins de Griffo : SUBLIME… Venise en couleurs directes, c’est magnifique. Cela fait le charme de cette série aussi…..

ah ! on s’y croirait presque sur les gondoles, la place St Marc….

Par BERTHOLD, le 7 juillet 2004

Soyons clair, si je lis Giacomo, c’est plus par amusement que par passion. Cette série est une vraie curiosité. Tous les clichés romanesques éculés, les caricatures, les scènes vaudevillesques y passent. S’il ne s’agissait du 18ème siècle, j’aurai parié que cette série était issue des cahiers de Courteline.. ! Mais cela n’est pas le cas, l’histoire sort de l’imagination d’un scénariste multi-casquette, plutôt inspiré par le libertinage et la marivaudage que par le respect des conventions historiques. Pas de fausse pudeur, il faut profiter de ce que présente la vie et c’est ainsi que la série met les plus belles femmes dans le lit de ce Don Juan, que dis-je.. de ce Casanova nommé Giacomo C pour qui le tragique rime toujours avec amour puis pirouette.
Classique.. mais drôle (du moment que nous ne sommes pas les acteurs 😉 !
Toutes les ficelles sont là, limpides, aucune surprise possible dans cette série car les retournements de situations sont sans cesse prévisibles. Finalement ne reste charmant que le jeu de séduction auquel se livre le héros dessiné par Griffo avec l’élégance qui convient au rôle. Le trait réaliste est joli, affirmé, plutôt agréable à regarder. Les couleurs sont superbes.. de toute façon, cet album est une vraie récréation.
Donc un album de plus à lire pour les habitués de la série.. qui pourront en outre choisir entre deux formats puisque Glénat a la bonne idée marketing de relooker la série en grand format. Ce tome 14 est le premier à paraître directement en taille S et XL . J’entends déjà râler les collectionneurs et les maniaques de tous poils sur la nouvelle difficulté à aligner les tranches sur l’étagère !
(J’ai une petite idée pour résoudre ce problème 😉 !
Allez, pour le romantisme de la Venise du 18ème et pour les beaux yeux de Giacomo, sourire aux lèvres (même moqueur) garanti 😉

Par MARIE, le 7 juin 2004

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