GENSHIKEN
Club d'étude de la culture visuelle moderne

Ogiué, malade, est veillée par Sasahara dans le gîte de Karuizawa où sont partis quelques jours les membres du club Genshiken. La jeune fille ayant fait quelques années plus tôt un manga yaoi mettant en scène Sasahara, elle est pleine de remords, très gênée, d’autant plus que le garçon aura profité de ce séjour à la montagne pour lui déclarer sa flamme.

Avec courage, Ogiué va se pousser à dévoiler à Sasahara ce secret qui lui pèse avant de savoir quelle suite donner aux déclaration de son camarade…
 

Par sylvestre, le 1 janvier 2001

Publicité

Toute la BD, que de la BD !

Notre avis sur GENSHIKEN #8 – Club d’étude de la culture visuelle moderne

Quand je vous disais que la série Genshiken n’arrêtait pas d’être toujours plus sympa ! Dans cet avant-dernier volume, vous allez découvrir la raison du mal-être d’Ogiue, ce qui la rendait toujours plus grognon et renfermée que les autres au sein du club Genshiken… Des montagnes japonaises de Karuizawa à Tokyo, elle va se dévoiler aux yeux des lecteurs grâce à un flashback et aux efforts qu’elle va faire envers elle-même et envers Sasahara. Les chapitres qui composent ce tome 8 sont vraiment très près des personnages, ce qui rend ceux-ci encore plus attachants que jamais. Ce qui arrive à Ogiué n’étant en plus pas banal, c’est avec grand intérêt et avec grande curiosité qu’on dévorera ce livre et qu’on appréciera le traitement qui est fait de la relation entre Ogiué et Sasahara par l’auteur ; ces deux personnages prenant pour ainsi dire toute la place dans ce volume.

Toujours dessinée avec un style qui met en scène des personnages aux traits de visages assez simples (mais réalistes) dans des décors eux bien travaillés, bien détaillés, la série Genshiken prouve encore une fois à ceux qui ont cru en elle qu’elle valait vraiment le coup. C’est par hasard que je l’ai découverte, et chaque nouveau tome a été pour moi un plaisir toujours plus grand de découverte de cet univers d’otakus… Je suis de ceux qui attendent désormais le tome 9 en sachant qu’il sera le dernier ; je suis aussi de ceux qui regretteront qu’elle se termine après ! Mais ce n’est pas grave… Je la relirai ! Et je surveillerai ce que Kio Shimoku fait d’autre !
 
 

Par Sylvestre, le 23 mars 2009

Publicité