GENESIS
Volume 1

Taiga est un jeune étudiant en anthropologie assez effacé, qui participe à un voyage d’étude avec quelques camarades, en Australie.

Alors qu’ils sont en balade, ils découvrent une grotte et décident de l’explorer. Leurs yeux se posent soudain sur de magnifiques peintures rupestres. Ils sont abasourdis, d’autant que le style des dessins est très différent des représentations aborigènes. Il se rapproche plutôt de celui observé à Lascaux ou en Afrique.

C’est alors que survient un effondrement. L’entrée est bouchée. Les étudiants s’enfoncent donc dans la grotte dans l’espoir de trouver une autre sortie. Ils finissent par rejoindre la surface.
Mais le paysage qui les attend n’a plus rien à voir avec celui qu’ils ont laissé derrière eux. Ils découvrent une immense forêt et d’étranges animaux semblant tout droit sortis de la Préhistoire. Auraient-ils découvert un passage vers un monde primitif ?

Par legoffe, le 23 mai 2022

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Toute la BD, que de la BD !

Notre avis sur GENESIS #1 – Volume 1

On reconnait dès la couverture le style graphique de Kouji Mori, auteur de Suicide Island. Il revient donc, ici, avec un nouveau récit de survie. Le contexte est toutefois très différent. Le précédent était un manga d’anticipation, mettant en scène des gens prisonniers sur une île, condamnés par l’Etat pour avoir tenté de se suicider. Une histoire assez dure.

Cette fois, c’est une aventure fantastique que propose l’auteur. Il propulse un groupe d’étudiants dans une monde préhistorique, où filles et garçons vont faire face à des mammouths ou des crocodiles géants, par exemple.

Mori a fait un casting intelligent, envoyant dans cet univers hostile des gens capables d’analyser la situation, plutôt érudits, mais qui ne sont pas non plus des as de la survie. De quoi pimenter l’histoire !

Il ne s’agit encore que du démarrage, avec mise en place et découverte des personnages. Mais la BD est pleine de promesse, intéressante, avec quelques scènes déjà accrocheuses. La violence apparait déjà un peu en fin de livre, mais rien qui ne soit trop dur.
Il faut aussi saluer la qualité des dessins, raffinés et détaillés. La plongée dans la Préhistoire n’en est que plus réaliste.

On attend la suite avec intérêt !

Par Legoffe, le 23 mai 2022

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