GASTON
Gaffe à Lagaffe

Quand ce n’est pas Fantasio qui propose un costume à Gaston pour le bal costumé, c’est au tour de Prunelle et Lebrac de s’y mettre (quand le lecteur ne s’y met pas aussi, ainsi que l’auteur). Quoi de plus simple pour danser qu’un costume de champignon, de hanneton, de pieuvre (géant, ça !), de cheminée, de cactus, d’escargot, de hamburger géant, de juke-box….

Par berthold, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur GASTON #15 – Gaffe à Lagaffe

Trrrrouguidiguidic; trrrôguidiguidic; pschiiiii…Miâârdedjû, bop, mop, pataf, krâaapètépittépaf, fsschoff, pétt, crââpètt, schoum, splètt, krââk….. M’enfin ?!
Une des choses que j’adore chez Gaston, ce sont les onomatopées ou les injures de certains protagonistes (dont le fameux Rognuttdjuuu..). 
Même à ce niveau là, on note le génie de Franquin, surtout pour le côté calligraphie. 

Mais revenons à ce tome 15, voulez-vous.

C’est le premier  édité par Marsu productions en 1996. Il reprend un fleuron de dessins ou de gags inédits, ainsi que quelques pages parues dans un album publicitaire Fou du bus ! qui était destiné à promouvoir l’utilisation du bus comme moyen de transport. 
C’est encore un album où le lecteur se tord de rire.  
Chaque page, chaque case, chaque gag relève du génie. Il y en a certains qui sont énormes et que le lecteur n’est pas prêt d’oublier, comme celui de la supersauce piquante préparée par Gaston. 
Il y en a d’autres qui sont sans parole et qui sont superbes à voir, comme celui où Gaston peint en pleine nature un épouvantail et que cette peinture fait peur aux oiseaux. 
Et que dire de celui où l’on découvre que c’est Gaston qui a inventé le pop art ?
Bref, c’est que du bonheur !

A lire et rererererelire, pour notre plus grand plaisir.

Par BERTHOLD, le 6 mars 2007

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