GASTON LA COLLECTION
1969 - 1970

(Rassemble les gags 580 à 622, parus dans les Spirou 1639 à 1681)
Voilà, Franquin introduit enfin le chat, la mouette, le poisson rouge…

Par fredgri, le 15 juin 2015

Publicité

Notre avis sur GASTON LA COLLECTION #11 – 1969 – 1970

L’évènement marquant, donc, au milieu de tout ces gags particulièrement efficaces, c’est l’arrivée du chat, de la mouette et de toute la ménagerie. Car, bien que Gaston continue d’inventer encore et encore, d’accumuler les gaffes sans y faire attention, ces nouveaux arrivants vont s’installer durablement dans la série et marquer à jamais le lecteur !

On se souvient tous de cette mouette qui s’esclaffe de colère, de ce chat qui hérisse le poil parce qu’on a essayé de s’asseoir sur lui…
Gaston Lagaffe s’anime donc avec ce nouvel élan et sort un peu de sa routine en complétant légèrement sa faune ! En contre partie, je trouve que Franquin entre dans une phase (depuis le précédent volume en fait) ou il tente de rompre deçi delà le trintrin ou s’est installée la série. Les gags sont nettement plus efficaces, ils jouent beaucoup sur les expressions, sur l’interaction systématiques avec De Mesmaeker, Longtarin, Prunelle… Ils renouvellent les gags avec la voiture, et même si on retrouve le sempiternelle Gaffophone qui casse tout cela reste efficace, un invariant agréable !

Une sorte de seconde jeunesse en somme !

En fin de volume le dossier revient sur les inventions de Gaston, sur le rapport entre Franquin et la modernité, via ses planches de Spirou, de Gaston. On rencontre ensuite Jules-de-chez-Smith-en-face. On revient ensuite sur les machines bizarres que concocte régulièrement le gaffeur et on termine l’album par un sympathique portfolio !

Une lecture indispensable pour tout fan de BD 😉

Par FredGri, le 15 juin 2015

Publicité