GALFALEK
Les "Hauts Murs"

Avant que le vrai monarque des « Hauts Murs » ne puisse tenter quoi que ce soit, il doit récupérer sa soeur, Dame Ferys que Reynalk retient comme « garantie ». Galfalek, Heink et Telvan vont donc devoir faire d’une pierre trois coups : délivrer Dame Ferys, Yrisis et enfin récupérer le second gant…
Seulement, après sa victoire face au Cercle, Grodrom est des plus en plus puissant, et il est nommé premier conseiller du roi Reynalk…

Par mat, le 1 janvier 2001

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2 avis sur GALFALEK #3 – Les « Hauts Murs »

Waou ! Un scénario purement incroyable ! Complètement bluffant ! Rien vu venir ! Gaudin montre ici tout son génie d’ex scénariste de cinéma ! Le plan d’évasion est monté à la perfection…
Le scénario ne perd pas de son intrigue, même si l’on voit la fin de l’histoire se profiler à l’horizon, on a encore beaucoup de chose à découvrir et le final de cette série risque d’être réellement éclatant…
En quelques mots : cet album, ainsi que les 2 précédent ont fait le tour de ma classe ! Maintenant, nous sommes au minimum 34 à attendre le tome 4 !

Par MAT, le 19 janvier 2003

Cette histoire pourrait, toutes proportions gardées, être comparée à une pièce de théâtre qui se déroulerait "à cent à l’heure". En effet, le scénariste joue beaucoup avec des éléments déstabilisants et ceci avec un rythme certain.

Yrisis sera toujours tenue, pour sauver la peau de Stefran et la sienne, d’aller totalement à l’encontre de ce qu’elle veut faire, ce qui crée des contre-temps dans l’évolution des choses telle qu’on croit qu’elles vont se faire.

Galfalek, Telvan et Heink, eux, effectuent de risqués allers et retours entre l’intérieur et l’extérieur des Hauts Murs, faisant monter la pression et le doute sur les chances de réussite de leurs missions. Du stress, donc, du suspense.

Enfin, les deux gants de l’oubli jouant leur rôle de "perturbateurs nécessaires", étant utilisés par les deux camps adverses. D’où la certitude… que rien n’est certain !

Multiples tableaux mettant en scène des personnages parfois toujours aussi difficiles à cerner, tensions, quiproquos, trahisons, action… Tout cela me fait penser à ces pièces de théâtre où dès qu’une porte se referme, c’est pour qu’une autre s’ouvre. Tout va très vite, sans répit.

Alors, quand à tout cela s’ajoute, à la fin du tome, l’idée que le gant de l’oubli, outil merveilleux, peut devenir – pour le héros ! – un véritable ennemi, le suspense redouble et nous laisse impatient de connaître la suite de cette histoire envoûtante.

Par Sylvestre, le 2 novembre 2005

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