FOU DU ROY (LE)
L'école des Bouffons

1637 : Jean-Baptiste va sur ses 15 ans et fréquente le collège de Clermont où il passe plus de temps à rêver qu’à écouter les professeurs. Il pense souvent à Madeleine Béjart. Grâce à son grand-père, il va pouvoir entrer dans les salons où évoluent les artistes et va découvrir le théâtre avec une pièce d’un certain Corneille, Le Cid. Mais Jean-Baptiste sent que des hommes le suivent et le surveillent. Ce qu’il ne sait pas c’est pourquoi?

Par berthold, le 1 janvier 2001

Notre avis sur FOU DU ROY (LE) #2 – L’école des Bouffons

Je ne sais pas pourquoi, mais je trouve que ce second tome manque autant de rythme et de souffle que le premier opus. Pourtant, que ce soit les 7 vies de l’Epervier ou Ninon Secrète entre autres me semblent bien plus dynamique.

Attention, je ne dis pas que c’est pas bien. C’est fort intéressant et instructifs. Le lecteur y découvre l’ambiance, les mœurs et les intrigues de l’époque. En cela, Cothias fait du bon travail. Son récit se consacre surtout autour de Jean-Baptiste Poquelin et de son amour pour Madeleine Béjart. Pourtant, il y manque quelque chose qui relancerait la machine, qui lui donnerait du punch.

Au dessin, Brice Goepfert améliore son style et fait revivre avec aisance la vie à Paris en ce début de XVIIème siècle. Il fait tout de même du bon travail même si parfois, nous sentons quelques "loupés"; je parle des scènes de rêves mais peut être est ce fait exprès.

Alors que se trame t’il autour de celui qui sera le futur Molière ? La suite nous le dira…

Par BERTHOLD, le 21 mars 2009

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