FORCES SPECIALES
Chasse à l'homme dans les Balkans

En 1992, douze ans après la mort de Tito, les tensions inter-ethniques renaissent en Yougoslavie.
Du côté de la Serbie, Slobodan Milosevic est au pouvoir et son arrivée fait planer sur les bosniaques des menaces graves.
La communaué internationale commence à s’inquiéter, surtout à cause des montés nationalistes.

Sept années plus tard, le Tribunal International a lancé des mandats d’arrêts contre les grands criminels de guerre de ce conflit. L’armée française a été peu impliquée dans cette guerre, mais elle prépare quand même une opération d’exfiltration pour arrêter et ramener l’un de ces criminels qui se trouve en Bosnie. Cette mission sera réalisée par les Forces Spéciales…

Par berthold, le 18 mai 2019

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Notre avis sur FORCES SPECIALES #2 – Chasse à l’homme dans les Balkans

Après nous avoir entrainé lors de l’opération Tempête du desert dans le tome 1, Vedrines nous raconte une nouvelle mission des Forces Spéciales de l’armée française. Cette fois ci, il nous entraine dans les Balkans, où nous suivons le commando Hubert qui doit exfiltrer un criminel de guerre nommé Krojelnak.

Védrines nous montre à la perfection les enjeux de cette mission, sa préparation et l’opération. L’intrigue est bien construite. On a en main un récit de fiction bien réaliste, sauf qu’il s’agit vraiment de la réalité et les hommes qui participent à la mission ont existé.
Cela se lit comme un très bon thriller, il n’y a rien à redire sur la qualité du scénario. Védrines rend ici un bien bel hommage à ses "héros de l’ombre", à ces membres des Forces Speciales, qui, récemment, viennent de perdre deux des leurs dans une mission de secours dans une région d’Afrique.
Védrines n’en fait pas trop dans son dessin, il va à l’essentiel, il nous montre ce qu’il faut savoir. Il fait monter la tension pour la faire culminer lors des dernières pages avec l’action du commando sur le terrain. Les couleurs posent bien l’ambiance .

Ce tome 2 est une lecture intéressante et instructive, qui nous en apprend pas mal sur le travail et sur les missions de ces hommes d’action.

 

Par BERTHOLD, le 18 mai 2019

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