FLIC A TOKYO
Flic à Tokyo

Kagami continue d’enchaîner les situations rocambolesques. Entre son passage comme témoin dans une affaire de braquage et sa participation à une simulation de casse, il arrive encore à trouver le moyen de jouer à "Schwarz Castel", un MMORPG (jeu de rôle massivement multijoueur en ligne), pour sauver ce monde virtuel d’un hackeur.

Par La Chose, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur FLIC A TOKYO #7 – Flic à Tokyo

Du Flic à Tokyo comme on l’aime. Les dessins s’éclaircissent, les persos s’affirment et on découvre de nouveaux styles (Kagami en samuraï, ça "déchire" 😉 ). Le découpage en plusieurs petits chapitres change du format de départ avec une grosse enquête. Ca facilite la lecture (possibilité d’arrêté après une histoire sans perdre le fil) et permet une meilleure compréhension globale. On sent que Keiichi Suzuki, comme le bon vin, va en s’affinant au fur et à mesure de son travail.

Par La Chose, le 13 juillet 2005

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