FEYA
Volume 2

Avec Doc Bot, Feya continue de se former pour mieux contrôler ses pouvoirs, mais son objectif n’a pas changé, elle veut retrouver son frère qui est resté dans le labo. Grâce à ses amis, elle réussit à le sortir de sa stase, mais, quand il découvre l’étendue de ses pouvoirs, il devient fou et décide de détruire les humains…

Par fredgri, le 31 août 2018

Notre avis sur FEYA #2 – Volume 2

Suite et fin de cette histoire en deux parties ou Marc Lataste nous entraîne dans les pas de la jeune Feya, récemment découverte inerte dans un mystérieux laboratoire laissé à l’abandon !

L’histoire reste dans un registre "jeunesse", avec un récit très enlevé qui continue d’aborder les débordements modernistes des hommes, cette soif du pouvoir qui peut parfois les amener à se croire supérieur, le tout enrobé dans une intrigue captivante, pleine de rebondissements, avec quelques pointes d’humour assez bien dosées.
Une douce SF Fantasy pleine de charme, très intrigante, qui ouvre sur des pistes de réflexion intéressantes !

Toutefois, ce deuxième volume est nettement plus linéaire que le premier. On avance vite, mais on se concentre beaucoup plus sur Feya et ses amis, même si en parallèle Marc Lataste introduit de nouveaux personnages et humanise l’intelligence artificielle Eve (qui est neutralisée en quelques pages, rapidement, histoire de servir de prétexte pour mettre en avant la puissance d’Aban, le frère de Feya). Mais on sent bien que le plus important c’est la montée en puissance d’Aban, limite si le reste de l’intrigue compte en comparaison.
Et c’est peut-être un peu dommage de mettre autant le reste en retrait et ainsi de très peu développer ces mystérieux étrangers qui viennent analyser Eve… Ou simplement Eve elle même…

Malgré tout, cette lecture reste vraiment un très bon moment, plein de surprise, d’action, on ne s’ennuie absolument pas une seconde !

La fin laisse penser à une hypothétique suite, rien n’est néanmoins annoncé dans ce sens, mais la porte reste entrouverte !
Croisons les doigts alors !

Par FredGri, le 31 août 2018

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