FEAR ITSELF THE FEARLESS
The fearless (1/6)

Après les évenements qu’a connu le monde avec l’attaque du Serpent et de ses marteaux, l’homme reconstruit ce qui a été détruit.
A Washington, Captain America supervise les travaux. Il est en pleine conversation avec Brunehilde, la Valkyrie. Il lui explique que les marteaux seront mieux protégés dans des lieux tenus secrets sur Terre plutôt que sur Asgard. Valkyrie n’est pas d’accord. Néanmoins, elle accepte la mission que lui confie Steve Rogers. Accompagnée par War Machine, elle arrive à lui fausser compagnie et n’entend en faire qu’à sa tête concernant les marteaux.
En attendant, Sin s’est aussi lancée sur la piste de ces armes redoutables…

 

Par berthold, le 6 juin 2012

Notre avis sur FEAR ITSELF THE FEARLESS #1 – The fearless (1/6)

Après la saga Fear Itself, voici sa "suite" : Fear Itself the Fearless.

Bon, il est vrai que le final de Fear Itself m’avait beaucoup déçu. J’espère que The Fearless sera d’un autre niveau. Néanmoins, cela démarre un peu mollement dans les épisodes 1 & 2 de la saga.
Ici, les auteurs, Bunn, Fraction et Yost se concentrent surtout sur Valkyrie. Nous la voyons durant la fin de la Deuxième Guerre Mondiale dans les Ardennes ou encore en mission près de Berlin tout en suivant sa quête qui doit la mener aux marteaux. En parallèle, les armées de Sin, alias Crane Rouge, sont aussi sur la même piste.
Bref, l’intrigue démarre doucement. Le tout étant dessiné Paul Pelletier et Mark Bagley. Les deux hommes ont un style graphique différent mais arrivent à garder une certaine cohérence.

Là où c’est interessant, c’est dans l’épisode 1 de Battle Scars où le scénariste Yost nous présente un sergent-major des Rangers, un certain Marcus Johnson. Qui est il ? Pourquoi le Maitre de Corvée où Captain America s’intéressent ils à lui ? Les questions sont nombreuses et rien ne nous dévoile le pourquoi de tout cela. Le suspense est bien prenant et donne envie d’en savoir plus.
Le dessin vraiment efficace est signé par Scot Eaton.

Attendons de lire le prochain numéro pour savoir où le lecteur va avec ces récits.

 

Par BERTHOLD, le 6 juin 2012

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