FABLES
La grande alliance

Les Fables ont eu des ennuis. Fableville a été détruite. Ils se cachent à la Ferme. Quelque chose de malsain y traîne. Bigby et la Bête ont failli se battre à mort. Heureusement que Blanche et la Belle les ont séparés. Mais ce n’est pas tout : voilà que revient Jack Horner et avec lui les mauvaises surprises. Ce dernier vient leur annoncer que Kevin Horne veut réecrire l’histoire des Fables et les Littéraux sont sur leur trace. Les Fables doivent réagir assez rapidement s’ils ne veulent pas "mourir".

 

Par berthold, le 28 août 2012

Notre avis sur FABLES #16 – La grande alliance

Avant d’entamer la lecture de ce seizième tome de la série Fables, il vaut mieux avoir lu le sixième tome de Jack Of Fables.
La grande alliance, titre de cette nouveauté, comprend les épisodes 83 à 85 de Fables, les 33 à 35 de Jack of Fables et les 1 à 3 de The Literals.
C’est le grand cross over de l’univers de Fables.

C’est avec un certain plaisir que nous retrouvons Jack Horner de retour chez lui. et avec lui, le chaos qui le suit; et là, on peut même parler d’apocalypse car avec ce qu’il traine, les ennuis ne sont pas loin. Outre ce qu’on sait au sujet des soeurs Page et lui, voilà t’y pas que l’on apprend que le goujat a aussi un fils, un certain Jack Frost et il n’hésite pas à profiter de la détresse de Rose Rouge depuis la mort de Blue.
On comprend pourquoi Bigby et les autres ne l’apprécient guère.
Willingham et Sturges écrivent une histoire fort réussi, prenante où l’humour (est ce Comédie qui les inspire ?) tient une grande place. Le Jack serait il le "bouffon" de ce monde ?
Les auteurs vont aussi sceller le destin des Littéraux et vont aussi jouer avec le personnage de Bigby : la scène de l’éléphant rose est un grand moment. Il y a beaucoup de bonnes idées dans ce récit, parfois, quelques longueurs mais qu’importe, le lecteur s’amuse, c’est le principal !

Le graphisme de Marck Buckingham, Braun et de Akins reste en totale harmonie et donne une certaine cohésion à ce tome. Vous pourrez aussi admirer les superbes couvertures originales signées par mark Buckingham, Brian Bolland ou Joao Ruas. Du grand art. Il est vrai que les couvertures chez Vertigo ont toujours été de superbes œuvres.

Un tome que je vous invite à lire sans souci et à ne pas mettre entre toutes les mains. Ce sont peut être des fables, mais elles ne sont pas destinés aux plus jeunes lecteurs, ni aux âmes sensibles.

 

Par BERTHOLD, le 28 août 2012

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