EQUATOR
Caro

Dereck encaissait les coups des gorilles de Keevers, un de ces gangsters qui avaient fait de l’Afrique équatoriale leur terrain de jeu, quand le non moins recommandable Quinn mit fin à son calvaire en lui proposant un marché : effacer la dette qu’il avait envers Keevers en échange d’un service : affréter son bateau, l’Equator, pour remonter le fleuve jusqu’à Mai-Mulele où il voulait se rendre. Dereck n’avait pas trop le choix…

Le jour J, quand tout fut prêt pour l’expédition, il fut surpris de voir que Quinn était accompagné par un joli brin de jeune femme… Lors du voyage, quand il apprendra de la bouche de celle-ci qu’elle n’était là que parce qu’elle seule pouvait mener le commanditaire de l’expédition à des diamants cachés autrefois par son père, Dereck comprendra que comme lui, aux mains de ces gars-là, elle était en danger. Pas question pour lui de laisser un si joli minois dans de sales draps !!!
 

Par sylvestre, le 7 mai 2010

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Notre avis sur EQUATOR #1 – Caro

En déplaçant ce qui aurait pu être une banale aventure dans l’univers tropical d’une Afrique imaginaire mais fidèle en de très nombreux points à la vraie, Dany s’offre des éléments de choix pour donner du relief à sa bande dessinée. Car si tout s’était passé en banlieue parisienne, les décors auraient-ils pu être aussi grandioses que les majestueuses chutes de Mai-Mulele ? La moiteur de l’atmosphère aurait-elle pu autant peser sur les protagonistes ? Une guerre d’indépendance aurait-elle pu pimenter le contexte de l’aventure, et des crocodiles voraces auraient-ils pu être la cerise sur le gâteau ?!? Certes non, et c’est pourquoi ce tome 1 de la série Equator est très agréable à lire. Les personnages y ont des caractères classiques et l’objectif de leur quête n’est pas original outre mesure, mais c’est tout le reste qui donne justement ces petits plus qui font qu’on a droit à de la bonne et belle aventure, avec en prime exotisme, suspense, humour et jolie fille… Du bon Dany, quoi ! Comme on l’aime.
 

Par Sylvestre, le 7 mai 2010

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