EDWARD JOHN TRELAWNAY
Princesse Zéla

Les tribus rebelles se sont entendues afin d’allier leur force. Mais, elles sont attaquées par les pirates Marattes, avec lesquels la Compagnie de L’Indius a conclu un bien étrange pacte.
Sur les lieux, EJ sauve Zéla, la fille d’un des chefs rebelles. Avant de mourir, celui-ci lui donne son anneau et le passe à son doigt : sans le savoir, le chef vient de lui confier la vie de sa fille en les mariant.
Tout cela n’est pas vraiment du goût d’EJ, mais contre mauvaise fortune, bon cœur, il sympathise avec la jeune fille.
Mais Mac Shin, rancunier, les traque toujours…

Par PATATRAK, le 1 janvier 2001

Publicité

Toute la BD, que de la BD !

Notre avis sur EDWARD JOHN TRELAWNAY #2 – Princesse Zéla

La suite est à la hauteur de mes espérances ! Je ne suis pas du tout déçu par ce deuxième tome.

Les dessins son toujours aussi bons, et l’intrigue s’emballe. Pris entre les pirates Marattes et les vaisseaux de la Compagnie, EJ et ses compagnons ont fort à faire ! La tension monte, on se demande bien ce qui va pouvoir arriver.

Heureusement (ou non, suivant qu’on souhaite ou non rester plongé dans la dramatique du récit), l’arrivée de la princesse Zéla agit sur le lecteur comme sur EJ : elle apporte un peu plus de douceur et d’humour. De Ruyter et son équipage lancent sur le pauvre corsaire (notez qu’il n’est pas vraiment malheureux avec Zéla!) des quolibets comme d’autres les grenades, c’est très distrayant.

De plus, EJ croise le chemin du lieutenant Aston, un loyal soldat de la Compagnie qui était sur le dirigeable de Mac Shin en même temps que lui.

Bref, tout ceci crée une atmosphère bon enfant, mais qu’on ne s’y trompe pas, « Edward John Trelawnay » est avant tout un récit d’action, avec certes ses joies, mais aussi ses drames. Au milieu des rires pointe le dénouement, et je ne le vois pas vraiment d’un œil réjoui.

Le tome 3 confirmera ou non, mais déjà, on tremble pour le sympathique équipage du Starkos…

Par PATATRAK, le 8 juillet 2003

Publicité