EDIKA
Mezzé falafel

 
Balinais, Edika ? Non : Li-ba-nais ! Mais oui, quoi… Le Liban. Vous savez ? Le pays des cèdres, des mezzé, des falafels… Ah, bé tiens… Et hop ! Voilà pour le titre : Mezzé falafel.

Edenté, Edika ? Non : dé-jan-té ! Ah, et bé alors, encore hop ! Voilà pour le style, pour le dessin, pour les idées…

Et c’est parti pour un trente-sixième album d’histoires courtes. Et folles. Et absurdes. Et débiles. Et avec des nanas à gros lolos. Et des chats en slip. Et toute la panoplie, quoi ! Aka-bonga !!!
 

Par sylvestre, le 11 novembre 2015

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Notre avis sur EDIKA #36 – Mezzé falafel

 
Il n’a pas grand-chose de plus que d’habitude à nous raconter, l’ami Edika. On n’a donc pas grand-chose à rajouter non plus, de notre côté. Sinon des banalités qui diraient que la formule utilisée est toujours la même, jouant encore et toujours, inlassablement, sur l’absurde et le vulgaire et mettant tout le monde d’accord : ceux qui n’aiment pas n’aiment toujours pas et ceux qui kiffent kiffent.

Qu’il est bon de faire partie des seconds ! Car on sait ce qui peut arriver, on sait vers quoi ça va tendre. Mais on l’attend quand même avec impatience et avidité : c’est comme la même histoire qu’on relit pour la dix millième fois mais qui change quand même à chaque fois. Les moyens sont à chaque fois les mêmes pour aller au but, mais les situations, toujours hyper barrées, font oublier qu’on se voit resservir la même sauce au profit d’une satisfaction non feinte teintée de la rituelle frustration relative à ces fins en "fish tails"…

Bref, c’est du pur Edika. Du dinosaure moderne, du rire tiré par les cheveux. Un nouvel élément d’un cycle qui n’en finirait jamais ; un peu comme la connerie humaine.

Tchounga-bawoup et hip-hip-hip-hourra pour ce Mezzé falafel fêlé !
 

Par Sylvestre, le 11 novembre 2015

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