EDIKA
Imprévus au menu

 
9, 2, 32, 8367 et le numéro complémentaire… le 1 ! Neuf, parce qu’il y a 9 histoires à découvrir dans ce nouvel album. Deux, parce qu’on y trouve les deux types de planches : celles en couleurs, mais aussi certaines en noir et blanc. Trente-deux, ben, c’est parce que c’est le numéro 32 de la série. Huit mille trois cent soixante-sept, parce que c’est le nombre de fois où vous êtes susceptible, au cours de la lecture, de vous dire "Warf, n’iiiiiiiiimporte nawak !" Et enfin un, parce qu’Edika, c’est vraiment le number wane pour ce qui est de dessiner des conneries ! Mort de rire…
 

Par sylvestre, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur EDIKA #32 – Imprévus au menu

 
Ca s’appelle "Imprévus au menu", mais ne vous y fiez pas : l’achat de cet album ne sera en rien un imprévu sur le budget des fans d’Edika. Ce tome 32 est principalement en couleurs mais est aussi partiellement en noir et blanc, comme pour rabibocher les lecteurs des premiers jours qui auraient toujours un peu de mal à s’y retrouver dans les versions colorisées (qui paradoxalement donnent parfois l’impression que les cases sont plus vides).

Question : quelle différence y a-t-il entre une histoire signée Edika et une sirène ? Aââllez, c’est fastoche ! Et bien figurez-vous que cette fois-ci, j’ai presque eu l’impression que non ; que les historiettes ne finissaient pas en queue de *

Accoutumance ? Addiction ? Lobotomisation culturelle ? Perte du bon sens ? Je vais aller consulter. On ne sait jamais.

…en attendant de pouvoir consulter le tome 33. 😉

* elle n’est pas de moi, celle-là.
 

Par Sylvestre, le 12 juillet 2007

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