DYNASTIE DONALD DUCK (LA)
1956 / 1957

 Septième tome de la superbe série d’intégrales Barks et encore plein de surprises à la clef ! Goutez plutôt ce sommaire de rêve :
Dossiers : -Entre satire et philosophie /  Puis vint Carl Barks … / Il était une fois en Amérique
Le monde des canards :  Histoire et préhistoire … d’une histoire
Histoires : 32 Aventures en 350 pages
Portfolio : En visite à Disneyland / Pluto un héros qui a du chien
Fiches personnages : Pluto / Gracié Rapetou

Par PEK, le 29 mai 2012

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Notre avis sur DYNASTIE DONALD DUCK (LA) #7 – 1956 / 1957

 Me revoici pour un nouveau tome de la fameuse intégrale Barks à décrypter, encenser mais aussi critiquer !

Tout d’abord, arrêtez-vous sur le petit autocollant ornant la première de couverture et lisez-le : "Fauve d’Angoulême 2012 – Prix du patrimoine" … Mérité n’est-ce pas ? J’imagine que si vous avez acheté les 6 premiers tomes vous êtes comme moi et n’avez pu passer à côté de cette disctinction. Pour ceux qui nous rejoindraient en cours de route considérez cela comme un sacré gage de qualité ! Bravo à toute l’équipe Glénat mais aussi à ses collaborateurs (Ulrich Schröder entres autres …) pour le travail réalisé. Ce septième volume ne fait pas exception à la règle, c’est bien du travail de qualité. 

Malgré tout, je me permettrais de relever que page 163, dans le dossier "Le monde des canards" il manque la dernière phrase qui fait le lien avec le haut du texte page 164. Pas si grave puisqu’on arrive tout de même à bien suivre le fil de l’article mais décevant pour une collection qui devrait être irréprochable ! Qui donc relis ces ouvrages avant de les envoyer à l’impression ? Si un poste est vacant je renouvelle l’offre que j’avais déjà faite dans ma chronique sur DoubleDuck ou les erreurs étaient légion …

Sur le fond les dossiers sont très instructifs, bien documentés et cela fait plaisir de voir que nous avons à faire à des connaisseurs du monde des canards. La qualité rédactionnelle étant au RDV il ne reste plus qu’à analyser les aventures de Barks sur la période 1956-1957 : Que dire que je n’aurais déjà dit dans les 6 précédentes chroniques ? Barks est réellement un magicien du récit. Ses aventures prennent de plus en plus d’ampleur et les personnages "secondaires" prennent de plus en plus leur place dans son esprit. Les différentes aventures que vous vivrez en lisant cet ouvrage vous ouvriront des horizons méconnus ou insoupçonnés !

Du grand art, une belle réalisation …Et encore 17 tomes à venir … On a hâte !

Par PEK, le 29 mai 2012

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