DURANGO
L'Or de Duncan

Le vieux Duncan a légué avant de mourir un trésor que sa fille, Lucy, doit récupérer à l’aide d’un plan quelque part dans le Wyoming.
Durango décide de l’accompagner dans sa quête car il semblerait que beaucoup de monde souhaite faire main basse sur ce magot…

Par phibes, le 1 janvier 2001

Publicité

Notre avis sur DURANGO #9 – L’Or de Duncan

Durango est le type de tueur à gages que l’on souhaiterait presque avoir comme ami.
Beau gosse, taciturne à ses heures, non provocant, il est plutôt du genre, dans les situations difficiles qu’il semble malheureusement attirer, à laisser parler son « mauser ».
Intègre jusqu’au bout des ongles dans les missions qui lui sont proposées, il est prêt à défendre la veuve (si possible jolie – on ne va pas l’en blâmer s’il en profite au passage) et l’orphelin quand le danger les guette.
Dans cet album qui constitue la suite logique de l’histoire du tome précédent intitulé « une raison pour mourir », Durango joue le rôle d’ange gardien de Lucy, une belle femme déterminée à trouver un trésor enfoui dans un cimetière indien et dévoilé par son père avant de mourir.
Cette quête va bien entendu être plus ardue que prévue puisque vont venir se greffer à celle-ci bien des personnages non recommandables.
Le graphisme pointu est toujours au rendez-vous sur la base d’une histoire somme toute simple mais efficace dans laquelle notre auteur a délibérément fait quelques petits clins d’œil :
–    au dessinateur Morris, en faisant apparaître Lucky Luke dans une des cases de la planche 15 ;
–    au cinéaste Sergio Léone, en utilisant son portrait et son pseudonyme Bob Robertson qu’il utilisa pour tourner certains films (cf. planche 21).

1ère parution :   novembre 1990 chez Alpen Publishers – ISBN : 2-7316-0825-0
Rééditions : en 1995 chez Alpen Publishers (ISBN : 2-7316-0979-6) et en 2006 chez les Humanoïdes Associés (ISBN : 2-7316-1852-3).

Par Phibes, le 8 janvier 2007

Publicité