DURANGO
Jessie

Après un affrontement, Durango a été blessé. Il est parti se reposer dans la petite ville de Hancock, où son ami Larry Haynes est shérif.
Au Red Heaven, le saloon, une jeune femme tente de s’échapper, mais elle glisse et se retrouve au sol, dans la rue. Max, l’homme de main du patron, la récupère juste au moment ou arrive le shérif qui demande ce qui s’est passé, il embarque la fille pour la mettre à l’abri.
Non loin de là, cinq hommes, dont le chef se nomme Franck, se rendent devant une propriété privée. Devant l’entrée, une tête au bout d’un pieu. Franck y reconnait un de ses hommes qu’il avait envoyé quelques jours plus tôt. Ils rentrent dans la propriété. Un père et ses trois fils viennent de creuser un trou dans la terre. Franck demande des explications…

Par berthold, le 27 juin 2016

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Notre avis sur DURANGO #17 – Jessie

Voilà le retour d’un autre célèbre "cow-boy" de la bande dessinée : un dénommé Durango.
Après trois tomes dessinés par Thierry Girod, c’est au tour d’Iko, illustrateur de la série Ténèbres, de nous entrainer dans les plaines du Far-West, dans de nouvelles aventures au côté du pistolero au Mauser C96. Le tout étant écrit par Yves Swolfs.

L’intrigue de ce dix-septième tome est assez classique dans l’ensemble, mais est toujours plaisant et permet de retrouver Durango qui fait parler la poudre.
Outre la course au trésor qui mène ce Franck et ses hommes en ville, c’est au cours de la lecture que nous apprenons pourquoi Jessie fuyait ses patrons et quel lien existe entre ces derniers et Franck.
Forcement, Durango prend part à la fête lorsque son ami le shérif est mortellement blessé lors de sa mission.
Au moins, l’amateur de western prend plaisir à se replonger dans cette ambiance "plombante". Et les armes à feu vont souvent faire de la musique dans ce tome. Swolfs rend ainsi toujours hommage au western-spaghetti. D’ailleurs, on reconnait facilement quel acteur prête ses traits au personnage de Franck !

Iko fait du bon boulot, même si par moment, on peut y voir quelques petis défauts. Mais là, je chipote un peu. L’artiste a du talent et a réussi à s’imprégner de l’atmosphère de ce western. On peut trouver de bons passages et de superbes paysages du Far-West. Il faut aussi souligner les magnifiques couleurs de Stéphane Paitreau qui accompagnent les dessins d’Iko.

Ce dix-septième tome permet de retrouver Durango avec plaisir. Avec cette série, l’Ouest a encore des choses à nous raconter. Et avec les talents de Swolfs et d’Iko, la série a encore de beaux jours devant elle !

 

Par BERTHOLD, le 27 juin 2016

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