DREAD MAC FARLANE
Ceux qui à moitié vivent

Dread Mac Farlane, le capitaine James Crochet et le reste de l’équipage sont à Port Royal pour se reposer et dépenser leur part du butin trouvé précédent (cf : Tome 2). Alors que tout se passait pour le mieux, Dread assiste à la pendaison d’un homme du nom de Davis Mac Farlane, surnommé le "Robin des bois des Caraïbes".
Heureusement pour lui, en employant un peu de la poudre magique qui lui reste, elle parvient à le délivrer et à échapper aux gardes qui les poursuivent. Seulement voilà, comme elle a un peu trop attiré l’attention sur elle et le reste de l’équipage, ils sont tous obligés de fuir.
Dans leur course pour échapper aux gardes, Davis est blessé …

Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur DREAD MAC FARLANE #3 – Ceux qui à moitié vivent

J’ai retrouvé avec grand plaisir les aventures de notre jeune pirate Dread Mac Farlane, dans un scénario bien rythmé, avec une histoire bien homogène et qui se lit de façon agréable. Les clins d’oeils humoristiques fait par l’auteur permettent d’agrémenter le récit sans pour autant le surcharger d’humour, et au final nous avons une histoire de fond qui progresse peu à peu, avec des passages plus légers.
Question dessin, rien à redire pour cette jeune auteur, les traits s’affinent, deviennent plus précis, et on voit bien ressortir le style propre à son univers, et on se plonge sans difficulté dans sa palette graphique. En tout cas, je trouve que globalement le graphisme prend de la maturité, et qu’il présage de nombreuses bonnes choses encore à l’avenir. On soulignera d’ailleurs à ce propos le rythme de parution des albums de la dessinatrice, qui arrive à nous faire découvrir en parallèle l’univers de Dread Mac Farlane, et celui du Donjon de Naheulbeuk, ce qui n’est tout de même pas rien.
En résumé, c’est un album qui se place bien dans la continuité du récit, en nous servant une histoire de fond sur le passé et la vie de Dread, et qui emmène à la fois dans ses aventures actuelles. Le graphisme et le scénario sont plutôt homogènes et on passe de très bons moments avec cet album, que je vous recommande.

Par Siam l'Archiviste, le 27 septembre 2005

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