DRACULA L'IMMORTEL #1 Tome 1/3

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Dessinateur :


Scénariste :


Coloriste :


Éditions :

CASTERMAN

Genre :

Adaptation

Fiction

Horreur

Thriller

Sortie :
ISBN : 9782203037700

Résumé de l'album Tome 1/3

 
Un quart de siècle s’est écoulé depuis la mort du terrible Comte de Dracula, mais sa malédiction semble toujours planer sur l’Europe... De Marseille à Londres, les chasseurs de vampires sont en effervescence : tout porte à croire qu’ils vont devoir reprendre du service, et certains événements qui ont eu lieu sont là pour le confirmer !
 

Par Sylvestre, le 08/09/2011

Notre avis sur l'album Tome 1/3

 
La rentrée 2011 aura vu la parution aux éditions Casterman de différentes adaptations en bandes dessinées de titres au départ édités chez Michel Lafon comme c’est le cas pour ce Dracula l’immortel ou issus d’univers d’œuvres publiées chez eux, comme la préquelle des Chevaliers d’émeraude d’Anne Robillard.

Dracula l’immortel, c’est donc d’abord un livre dû à Dacre Stoker, l’arrière petit neveu de Bram Stoker, et à Ian Holt. Une histoire qui "ressuscite" Dracula en renvoyant parmi les hommes des vampires manifestement bien décidés à venger (ou tout du moins à continuer l’œuvre de) leur plus célèbre représentant, voire à le remettre en selle. Désormais, cette histoire connaît une seconde vie, et cette fois sous la forme d’une trilogie en BD signée par Michel Dufranne au scénario (Souvenirs de la grande armée...), par Piotr Kowalski au dessin (La branche Lincoln...) et par Svart aux couleurs.

Mais autant vous le dire tout de go : la lecture de ce premier tome ne sera pas facile pour qui n’a pas lu le roman avant. Flashbacks et changements de lieux ont plutôt tendance à nous déstabiliser malgré la colorisation qui œuvre à nous guider, et s’ajoutent à cela d’autres références (comme celle à Jack l’éventreur, par exemple) qui finissent de nous déboussoler... Et c’est bien dommage, car plusieurs lectures successives ne vous aideront peut-être même pas vous non plus à y voir plus clair ! Même si l’œuvre est traitée en trois volumes et nous invite de fait à ne pas perdre espoir avant d’être allé jusqu’au bout, ce premier contact avec cette adaptation laisse plutôt une impression très mitigée, voire mauvaise...

Un roman à succès devient-il forcément une bande dessinée à succès ? Faites-vous votre propre idée en plongeant dans l’obscurité menaçante de ce tome 1 où longues dents riment avec sang.
 

Par , le

Les albums de la série DRACULA L'IMMORTEL

Nos interviews liées

Svart : coloriste, mais pas que...

Sceneario.com : Bonjour Svart ! Avant toute chose, pourriez-vous vous présenter en quelques mots et nous expliquer d’où vous est venue l’idée de ce pseudonyme ?
Svart : Bonjour ! Alors... Je m’appelle Fabrice Gagos, ça fait bientôt 14 ans que j’ai 17 ans, et certainement pas toutes mes dents : ça fait longtemps que je ne les ai pas comptées ! Quant à « Svart », ça vient de mon passé de super héros, mais j’ai raccroché car c’était pas rentable financièrement. En vrai, je voulais un pseudo car le fait de signer de mon nom me donnait l’impression de remplir une copie, comme à l’école, ou ma feuille d’impôts ! Bref...

On m’a souvent comparé à un nain : trapu, barbu, grognon... Je sais pas trop où on est allé chercher ça mais le fait est là ! A la base, comme j’avais l’idée de monter une sorte de studio, le Svartalfheim qui est, dans la mythologie nordique, le pays des Nains (en réalité, c’est le mondes des elfes noirs, souvent confondu avec Nidavellir, domaine des Nains, mais Nidavellir même si c’est joli, ça me parlait moins ^^), me semblait donc un nom approprié (en faisant disparaître le « f », quand même) De là, comme finalement je me suis mis à bosser en solo, Svart s’est un peu imposé comme pseudo (parce que Svartalheim c’ est trop compliqué, faut avouer) [...]

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Entretien avec Michel Dufranne, scénariste de bandes dessinées

Sceneario.com : Bonjour Michel. Peux-tu te présenter ? Nous raconter ton parcours ?
Michel Dufranne : En quelques mots-clé : belge, père d\'un jeune trollinet, presque quarante ans, psychologue de formation, et apprenti scénariste permanent depuis presqu’une décennie. Quant à mon parcours professionnel, j'ai souvent mené plusieurs activités de front (j'aime assez les semaines de 2 x 35 heures et j'ai la "chance" de dormir assez peu en me couchant tard et me levant très tôt). En vrac et en désordre : chasseur de têtes, chercheur à l'université, formateur, enseignant, conseiller municipal, chroniqueur BD en presse écrite, chroniqueur littéraire en TV, responsable de la com' interne, rédac' chef (adjoint) en presse écrite… le tout entre Bruxelles, Charleroi, Paris et Montréal. Et bien évidemment (co)scénariste de bande dessinée [...]

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