DR KOTÔ
Tome 12

Takehiro souffre d’une malformation cardiaque. Et la maladie se développe plus vite que ne l’imaginait le docteur Koto. Deux alternatives se présentent au père du garçon. Soit Takehiro subit une opération de substitution de la valve aortique, ce qui demandera d’autres opérations, à l’avenir en raison de sa croissance, et un traitement à vie. L’autre solution serait de lui faire subir l’opération de Ross, une greffe sur l’aorte. Ce deuxième choix, qui ne nécessitera pas d’autres interventions ultérieures, est toutefois une opération très compliquée et très risquée. Le docteur Koto ne l’a jamais pratiquée et il conseille au pêcheur de la confier à un autre chirurgien. L’homme refuse. Le médecin de l’île de Koshiki va-t-il prendre un tel risque ?

Par legoffe, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur DR KOTÔ #12 – Tome 12

Trois histoires se succèdent dans ce nouveau tome, et elles plairont sans aucun doute aux fans de la série. La première est une nouvelle occasion de montrer tout le talent de chirurgien du docteur Koto, mais aussi de faire passer les messages de solidarité et d’espoir que l’auteur affectionne tant.

Le second épisode marque un petit tournant dans la série puisque nous voyons débarquer une nouvelle infirmière dans la clinique de Koto. Que les lecteurs se rassurent, elle ne remplace pas Mlle Hoshino, mais elle vient compléter l’équipe après avoir voulu échapper à un passé un peu lourd à porter. Cela va amener de grandes tensions entre les trois membres de la clinique. Mais, vous l’imaginez bien, l’optimisme l’emportera à la fin !

Pour le dernier épisode, Yamada joue encore plus sur la corde émotionnelle et nous entraîne dans l’intimité familiale de Mlle Hoshino. Nous allons découvrir la vérité sur son père, et elle ne correspond pas à ce qu’elle avait raconté jusque-là au docteur Koto. De quoi aborder le thème des relations parents/enfants et la difficulté des enfants à vivre la séparation de leurs parents.

Trois jolies histoires qui sont parfaitement dans la veine de cette série très agréable et destinée à tous les publics.

Par Legoffe, le 19 novembre 2008

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