DOTANUKI
Tome 2

Yukito n’a pas eu le dessus dans la bagarre qu’il a provoquée, mais son maître, Ozamu, intervient à temps avant que son adversaire ne lui fasse regretter son initiative. Mais alors qu’Ozamu veut venger son élève, Watsuki intervient à son tour et apprend à tous que l’homme, nommé Bellagamba, est une de ses connaissances.

Car Watsuki veut envoyer Ozamu en mission, avec ce Bellagamba, chercher "le dotanuki de Meifumado", symbole impérial de l’autorité du pouvoir en place. Ce dotanuki avait été volé par Bellagamba lui-même, mais celui-ci s’était fait doubler par un complice d’alors. Bellagamba va donc partir avec Ozamu et Yukito à la recherche du précieux objet qui se trouverait dans les Abruzzes.

Mais quelqu’un a entendu toute la conversation et une vieille connaissance d’Ozamu à qui elle va être rapportée va se frotter les mains à l’idée que leurs chemins se recroisent…

C’est dans un zeppelin que la quête de nos héros va commencer. Mais à bord du dirigeable en question, deux hommes de la « Metsuke » vont faire leur apparition et le combat qui s’engagera contre eux promettra le zeppelin aux flammes…
 

Par sylvestre, le 1 novembre 2009

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Notre avis sur DOTANUKI #2 – Tome 2

Dès la première planche de ce deuxième volet, on apprend que celui à qui en voulait Yukito est un "gaijin", un non-Japonais. Voilà qui situe un peu mieux l’action (sur Terre, on n’en était même pas encore sûrs !), puisqu’on hésitait encore, dans le tome 1, au regard des différents décors pour le moins fantaisistes qui nous étaient montrés. Autre chose qui n’étonne presque pas et qui prête à sourire : l’auteur Lorenzo a, à n’en pas douter vu son nom d’artiste, des origines italiennes, et voilà que ses personnages, et parmi eux le gaijin "Bellagamba", vont se diriger vers les Abruzzes… une région d’Italie !

Au niveau du dessin, on ne note pas beaucoup de changement. En si peu de temps, ça aurait tenu du miracle. Il n’empêche que l’on observera quelques dessins meilleurs que les autres, comme cette plongée, en page 10, sur un chouette bâtiment.

Par contre, carton rouge sur les fautes de français qui sont bien plus nombreuses que dans le tome 1. On ne perce pas avec des œuvres mal relues, les gars !!!

Enfin, on ne s’investira pas trop, lecteur, dans ce récit puisque c’est à un suspense probablement éternel qu’on sait qu’on restera pendu. Les choses se mettaient doucement en place, la notion de quête était établie, etc, etc… mais les éditions Akai ont entre temps mis la clé sous la porte. Site internet fermé, tentatives de les contacter vaines. La fin d’une aventure, quoi.
 

Par Sylvestre, le 1 novembre 2009

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