DOT-HACK (.HACK)
Tome 2

Nos jeunes compagnons Shûgo et Léna se sont trouvés des partenaires de jeu, Hotaru, Ôka et Mireille, qui connaissent The World beaucoup mieux qu’eux. Ils sont toujours sur la trace des .hackers, ces personnages de légendes qui ont, semble t-il, réalisés des choses prodigieuses ils y a quelques années de cela.
Shûgo a bien progressé depuis quelques temps, et évite d’utiliser son bracelet spécial lors des combats, à la grande surprise de Léna, qui ne le croyait pas si fort et sur de lui.
Lors d’un événement dans le jeu, nos amis rencontrent une wandering AI (une intelligence artificielle errante) du nom de Xefi, qui semble être la fille d’Aura, une autre IA mystérieuse qui a donné son bracelet à Shûgo dans le précédent tome…
Les événements se succèdent, que réserve The World à nos compagnons ?

Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur DOT-HACK (.HACK) #2 – Tome 2

Une petite série bien sympathique dans l’univers de .hack, mais il n’est pas nécessaire de connaître l’univers entier pour apprécier sans renâcler ce petit manga bien agréable.
Les personnages sont attachants et nous emmènent dans des péripéties variées que l’on a plaisir à suivre. Leur design est original et participe grandement à l’intérêt pour cette série. Si l’on met de côté le fait que maîtriser un peu l’univers de .hack peut participer à la compréhension du manga, il reste que le lecteur n’en est pas perdu pour autant, puisque les personnages plus anciens dans le jeu expliquent aux nouveaux les faits marquants de celui-ci. Bref le lecteur n’est pas perdu dans un monde dense et il peut très bien se passer de certaines références.
Il reste au final un opus rythmé, graphiquement léché, comportant de l’humour mais aussi des scènes plus sérieuses. Un équilibre qui fait de cet opus une histoire intéressante à suivre sans non plus être un monument du genre. Un moment de détente et de lecture sympathique que l’on savoure d’une traite en se demandant tout de même quelle sera l’issue de cette quête.

Par Siam l'Archiviste, le 14 novembre 2007

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