DOGGYBAGS PRESENTE
Beware of Rednecks

 
Dance or die :

Arrivé à Blue Gully pour y tourner un reportage sur des festivités locales, Ulysses aka Bubba n’en a pas mené large quand les choses ont tourné et qu’il s’est vu embarquer par un groupe de caïds qui lui ont garanti qu’il avait mieux à filmer que les danses du coin. Pauvre Bubba… Et lui qui pensait qu’il serait un minimum en sécurité parce qu’il avait eu "ses entrées" dans ce bled de tarés…

The bad seed :

Fallait pas ! Fallait pas aller traîner dans le bunker du vieux Hamilton et y découvrir ce qu’il tenait à garder secret. C’est Ray et Faith qui en ont fait les frais, mais Hamilton avait ses raisons : fallait pas ! Fallait pas que le gouvernement le retienne en prison alors qu’il était innocent, ni qu’il lui propose cette putain d’expérience qu’il avait acceptée parce que de toute façon, il devait rapidement se faire exécuter…

Bone pickers :

Un cambriolage qui tourne mal et un séjour en prison qui n’arrange pas les choses, ça peut donner une cavale et une mise en planque en mode énervement et vengeance…
 

Par sylvestre, le 4 juillet 2019

Publicité

Notre avis sur DOGGYBAGS PRESENTE #3 – Beware of Rednecks

 
Terme péjoratif pour les uns et correspondant à l’équivalent de nos prolos, de nos ploucs et autres clichés de gusses avinés et n’ayant pas inventé la poudre, le mot "redneck" serait pourtant devenu, pour ceux qu’il désigne, une appellation communautaire, identitaire, et donc source d’une certaine fierté. Dans ce nouvel opus de la série Doggybags Présente, en plus d’une nouvelle signée Tanguy Mandias (Sangs d’encre) et de quelques pages "documentaires", trois récits courts en bandes dessinées mettent quelques-uns de ces individus en scène. A ceci près que ces derniers ne sont évidemment pas représentatifs du plus grand nombre puisqu’ils appartiennent à cette frange extrême, voire fantasmée, qui permet aux scénaristes de grossir les traits à loisir et d’éxagérer les choses pour en tirer de f**king stories formatées pour plaire aux fans du Label 619. Amateurs de frissons, de sueur, de violence et de démence, encore une BD taillée exprès pour vous !
 

Par Sylvestre, le 4 juillet 2019

Publicité