DOGGYBAGS
Tome 10

 
Trois récits courts composent ce recueil de bandes dessinées :

Lucky Finders :

Les Lucky Finders font des tournées chez les particuliers pour éradiquer la malchance. Autant vous dire que les chats noirs sont une de leurs cibles privilégiées, et que quand ils tombent sur un logement où il y en a plein, ils n’hésitent pas à employer les grands moyens. Malheureusement, parfois, le particulier se rebelle et peut devenir méchant. Les Lucky Finders peuvent alors tourner poissards… Ça ne le fait pas…

Phalanga :

Phalanga est arrivé à New York depuis le fin fond de la Sibérie dans l’intention de se venger de l’assassin de ses parents. Il est sûr de lui, il est fort et plein de ressources, rien ne devrait pouvoir l’arrêter. Et c’est tant mieux, parce que celui qu’il cherche n’est pas du genre enfant de cœur non plus…

Motor City :

Detroit, Michigan, est coupée en deux. D’un côté, une certaine société prospère à l’abri de remparts qu’elle a érigés. De l’autre, c’est la misère. Mais la misère est parfois photogénique, et un photographe décide un jour de se lancer, souhaitant trouver de nouveaux sujets pour une prochaine exposition…
 

Par sylvestre, le 13 juin 2016

Notre avis sur DOGGYBAGS #10 – Tome 10

 
Trois nouveaux récits courts viennent compléter l’offre Doggybags : deux sont réalisés par des newcomers dans la "team". Team qui n’en finit donc pas de grossir bien que l’aventure Doggybags est formatée pour ne durer que le temps de 13 albums. Le premier récit, Unlucky, a l’honneur de la pochette. C’est pourtant malheureusement celui auquel on accroche le moins, pas mal de choses y étant un peu brouillon : comment ça marche ? Qui fait quoi ? A quoi ça sert ? Il y a du potentiel, de l’énergie, du style, mais le résultat désarçonne. Dommage. Les deux autres récits passent mieux. Peut-être plus classiques dans la narration, ils sont plus efficaces.
Le tout est rassemblé dans un ouvrage "américano old style", comme chaque numéro de Doggybags, avec quelques rubriques, une nouvelle, des fausses publicités, un éditorial, une page de courrier des lecteurs, etc, etc… Une BD pimentée de plus, sans concession et 100% violence graphique ! Au Label 619 des éditions Ankama, comme d’hab’… Yeah !
 

Par Sylvestre, le 13 juin 2016

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