DOFUS MONSTER
Brumen Tinctorias
Pour s’être montré rebelle au terrible Dieu Iop, le dénommé Brumen Tinctorias est devenu l’homme à abattre et doit donc rester introuvable pour les hommes de Rish Claymore qui le traquent sans cesse.
Brumen a perdu sa bien-aimée Sacha à cause de Iops. Depuis, il a cherché sans relâche la recette d’une potion légendaire à base de Manolia dont il a entendu dire qu’elle pouvait même soigner de la mort ! Brumen, à force de persévérance, est ainsi passé maître ès potions, concoctant avec réussite breuvages soignants autant que poisons mortels…
A l’auberge Ombris Urticanten, ce jour-là, c’est pour les clients comme un éternel recommencement : trois Iops ont débarqué et se sont mis à les questionner pour savoir où se cachait Brumen…
Par sylvestre, le 1 avril 2011
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782359100990
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Notre avis sur DOFUS MONSTER #6 – Brumen Tinctorias
C’est un drame vécu par le héros Brumen Tinctorias, qui finalement est à la base de cette histoire qui n’est pourtant pas dénuée d’humour, univers de Dofus oblige ! Un drame dont on ne saura pas tout dès le début, et qui est amené au lecteur au fur et à mesure de l’histoire, un récit construit de manière originale sur cette notion d’éternel recommencement dont je fais cas dans le résumé ci-dessus.
L’intérieur de l’auberge Ombris Urticanten est quasiment l’unique décor de ce qu’on pourra alors définir comme un huis clos, et malgré la petite taille des lieux, de nombreux personnages viendront, par leurs témoignages, comme chapitrer l’histoire. C’est très bien amené : bravo au scénariste Tom Gobart !
Côté dessin, ce n’est pas mal non plus. Disons que c’est bien dans le trip Dofus Monster : un style différent de ce qu’on a pu voir dans les autres tomes, original, qui sert bien l’histoire, et qui nous fera même nous faire quelques remarques pour l’occasion, du style : certains personnages ressemblent étrangement à des trolls de l’univers de Lanfeust !
Ce tome 6 est un one-shot, une histoire complète que vous aurez plaisir à découvrir.
Par Sylvestre, le 3 avril 2011
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