DOFUS MONSTER
Bworker

 
Les Bworks forment l’une des espèces les plus débiles du Monde des Douzes, mais grâce au talent du professeur Morose et à l’enseignement de Navi Volvap, l’un d’entre eux a pu évoluer au point qu’il s’est amélioré en langage, en comportement, en combat, en intelligence… Fort de tout cela, il s’est fait ensuite des amis, puis s’est mis au service de son prochain, a sauvé des vies… Il a même fini par éprouver des sentiments amoureux ! Des sentiments qui l’ont, un triste jour, transformé en ce qu’il est désormais : le Bworker qu’avait commandé au Docteur Morose le terrible Mori Arty pour en faire un outil – que dis-je – une arme destinée à l’aider dans ses futurs nombreux projets…
 

Par sylvestre, le 17 mars 2014

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Notre avis sur DOFUS MONSTER #11 – Bworker

 
Et de onze ! Voici une nouvelle fable de l’univers du Monde des Douze, un nouveau Dofus Monster que les fans attendaient impatiemment. Cette fois, ce sont les Bworks qui sont à l’honneur. Ou plutôt un Bwork en particulier : celui connu sous le nom de "Bworker" ; titre alors tout trouvé pour cet opus.

Orchestré par Dobbs dont on a ces dernières années apprécié les nombreux scénarii notamment aux éditions Soleil dans diverses collections, ce récit sort des sentiers que l’artiste avait l’habitude de battre. Avec Bworker, désireux d’apporter sa pierre à "l’édifice Dofus", Dobbs a délaissé les ambiances réalistes qu’il affectionne pour se faire plaisir dans des décors et avec un casting beaucoup plus fantaisistes. Il s’est pour cela fait accompagner par le dessinateur Ricardo Tercio qui a réalisé là un travail dont le résultat est par contre malheureusement mi-figue, mi-raisin. En effet, il est indéniable que talent il y a chez ce jeune artsite, que le coup de crayon de Tercio est taillé pour l’aventure artistique labellisée Ankama, mais le rendu qu’on découvrira dans cet opus de Dofus Monster décevra du fait que tout ressort très sombre, trop sombre. Ça gêne pendant la lecture, et ça fait que l’impression globale en prend un coup. C’est vraiment dommage.

Alors on se prend à espérer que les éditions Ankama ont plus d’un tour dans leur sac : que Ricardo Tercio a en réalité réalisé cet album en couleurs et qu’un jour, c’est en version colorisée qu’on pourra profiter de cette ici beaucoup trop sombre "biographie" de Bworker… Bon, forcément, on parlerait alors d’un plan business. Mais en attendant, ce qu’on veut, nous, c’est voir ce qu’on lit ! Non ? Alors… chiche ?
 

Par Sylvestre, le 17 mars 2014

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