DO ANDROIDS DREAM OF ELECTRIC SHEEP
Tome 3

Rick Deckard était venu pour "réformer" la cantatrice Luba Luft. Mais il s’est fait avoir et se retrouve sous la menace de l’arme de la femme. Celle-ci appelle un policier pour arrêter l’importun. Alors, que le policier commence à vérifier son identité, Deckard découvre qu’il n’est pas connu des services de police, que son chef n’existerait pas. Le policier l’amène à son QG où là aussi, il semblerait que personne ne connaisse le chasseur de primes.
Deckard commence à douter…Si c’était lui, au final; l’androïde. De plus, il est soupçonné d’homicide. Le cadavre de Polokov a été trouvé dans son véhicule. L’officier Garland va s’occuper de l’interroger et va demander l’aide du chasseur de primes Phil Resch…

 

Par berthold, le 5 octobre 2011

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Notre avis sur DO ANDROIDS DREAM OF ELECTRIC SHEEP #3 – Tome 3

Dernier tome de l’adaptation du roman de Philp K.Dick : Do Androids Dream of Electric Sheep ?.

Tony Parker y a donc fait du bon travail. Il a su redonner une "jeunesse" à cette œuvre culte et a permis a une nouvelle génération de connaitre ce roman qui a inspiré le film Blade Runner à Ridley Scott.

Cet ultime tome tient ses promesses et nous réserve de belles surprises. Le lecteur sent la tension qui risque d’exploser dans ces pages.
Alors, Rick Deckard est-il oui ou non un androïde ? Ne comptez pas sur moi pour vous donner la réponse. J’ai trouvé cet ultime opus fort réussi. Tony Parker a su y insuffler un bon suspense qui vous tient vraiment jusqu’au bout…et vous fait douter. Qui est qui . Qui a raison ? Je n’en dis pas plus.
Ce livre fait un tout avec les deux premiers et s’avère être un beau modèle du genre.
L’arrivée du chasseur de primes Phil Resch est un grand moment et le personnage s’avère fort intéressant. c’est dommage qu’il ne soit pas dans le film.

Le graphisme de Parker est, malgré son classicisme, assez intéressant au final. Il arrive à nous donner des images de ce monde du futur tout en gardant un certain dépouillement dans certaines cases. Tout est bien rythmé et les textes n’alourdissent pas le dessin.

Vous y lirez aussi un texte de Jonathan Lethem intitulé Crazy Friend. Ce récit est agréable à lire.

Cette adaptation est une belle reussite. Elle aura permis de faire découvrir l’une des œuvres phares de Philip K.Dick.
Un chef d’œuvre incontournable.

 

Par BERTHOLD, le 5 octobre 2011

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