DNA²
Origine

Junta Momonari est lycéen, et très amoureux de Tomoko Saéki, le seul problème, c’est qu’il est allergique aux filles et aux jeunes femmes. Lorsque l’un d’elle s’approche de trop près, il ne peut s’empêcher de vomir à grands flots.
Tomoko vient de lui jouer une comédie, pour voir si elle plait aux garçons, et le pauvre Junta n’a pu s’empêcher de régurgiter son déjeuner… Ce qui fait qu’elle le prie de bien vouloir s’en aller (version politiquement correcte)
Dans le même temps, une capsule bizarre fait son apparition dans un parc d’attraction désaffecté, et Karine Aoi en surgit, de son état régulatrice d’ADN… dans le futur. En effet, elle est là pour empêcher que Junta devienne un mega playboy et fasse des enfants à des centaines de femmes au cours de sa vie, ce qui a pour effet à cours terme de provoquer une surpopulation dans le futur…
Le problème, c’est que Karine se trompe de balle, et Junta devient un mega playboy un peu spécial…

Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001

Notre avis sur DNA² #1 – Origine

Masakusa Katsura signe ici un nouveau manga un peu différent de ses habitudes. En effet, il ne comprend que 5 volumes, au contraire de Video Girl Aï, la série avant DNA² et Is celle après. Si les autres séries du mangaka s’attachent plus à une intrigue amoureuse triangulaire contemporaine, DNA² ne déroge pas à la règle, mais en inscrivant un élément de science fiction dans l’univers.
Ainsi, DNA, c’est à la fois un paradoxe passé présent futur, avec en plus les relations triangulaires si chères à Katsura. Mais la différence ici, c’est qu’au lieu de s’étaler sur 15 volumes le plus souvent (c’est le cas dans VGA et Is), ici, il a choisi de condenser, ce qui rend la série finalement plus dynamique et plus vivante.
Pour ce qui est du scénario, rien à redire, on est dans un domaine ou Masakusa Kastura maitrise et abonde, donc aucun souci à se faire, DNA² fait partie des poncifs du genre, et parmi les meilleurs peut-être à mon goût.
Pour ce qui est des dessins, là, nul reproche à formuler, car ils sont en noir et blanc, et somptueux à la fois, que des bons points pour mes yeux ravis. D’autant plus que l’édition de chez Tonkam est agrémentée de dessins magnifiques des différents personnages principaux, à la fin de chaque tome, qui précisont le, en publié en français dans le sens de lecture japonais.
Bref, je vous recommande chaudement cette série, car ce mangaka vaut vraiment le détour…

Par Siam l'Archiviste, le 12 mai 2003

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