DJINN
Ce qui est caché

 
Ce qui est caché
ouvre le rideau sur les coulisses de la série Djinn, de Jean Dufaux et d’Ana Miralles…
 

Par sylvestre, le 1 janvier 2001

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Toute la BD, que de la BD !

Notre avis sur DJINN #HS1 – Ce qui est caché

Le scénariste Jean Dufaux ayant décidé de situer l’action d’une série BD autour de ce lieu intrigant qu’est le harem, il a fait appel à une femme, Ana Miralles, pour, dit-il, mieux aborder le sujet, mieux décrypter les codes de ce lieu au féminin.

Ce qui est caché est le récit par ses auteurs de la construction des tomes de la série. Depuis l’idée de départ et jusque dans les moindres détails et anecdotes de sa réalisation (les coups de fil qu’ils se sont passés, l’aide de M. Miralles à sa dame, etc…)

Ce hors-série, qui est paru en même temps que le tome 4 du premier cycle (Le trésor) et en même temps qu’un splendide coffret est en outre un bon moyen pour l’éditeur de proposer aux fans une extension collector à cette œuvre décidément très esthétique. C’est le point un peu négatif qu’on peut lui trouver : cette dimension commerciale.

Heureusement, les points positifs ne manquent pas :

Ce hors-série pourrait s’apparenter à un carnet de croquis comme on en voit d’autres paraître. Le prix est là raisonnable en comparaison avec certains ouvrages qui ont la même ambition mais qui coûtent beaucoup plus cher. Ca, c’est un point positif.

Loin de l’esprit du tome 13 de la série XIII ou encore du tome XI du Décalogue qui visaient à compléter le contenu de leurs séries respectives, Ce qui est caché est beaucoup plus "facile" à lire. Certains diront qu’ils ont été déçus parce que finalement, c’est très "light". Mais personnellement, ça me va. Mais attention, je sais, la comparaison entre les 3 œuvres est délicate…

Enfin, ceux qui ont suivi le premier cycle et qui ont apprécié n’ont pas manqué de comprendre que la fin du tome 4 s’ouvrait sur autre chose. Et c’est peut-être là où le titre de cet ouvrage nous fait un beau clin d’œil : l’aventure continue !
 

Par Sylvestre, le 23 septembre 2005

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