Tome 1

Dejiko, princesse de la planète Digi Charat, débarque sur Terre pour ses études mais rêve surtout de devenir une grande actrice et de conquérir la Terre.
Malheureusement, elle se retrouve sans argent et se voit obliger de travailler dans la boutique « Gamers » pour vivre.
Accompagnée de Puchiko et de Rabi en Rose, Dejiko nous fait découvrir un an de la vie au Japon.

Par NOFL'R, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur Tome 1

J’ai découvert la série Digi Charat par la version animée qu’on m’avait prêtée et j’ai trouvé ça tellement mignon que je n’ai pas hésité à l’acheter en la voyant en vente sous forme papier. Dans l’anime, les épisodes durent environ 3 minutes et les histoires sont souvent des délires de l’auteur sans queue ni tête … Et le manga ressemble un peu à ça. On suit les aventures de Dejiko, princesse extraterrestre paresseuse et calculatrice qui rêve de devenir une star de cinéma et d’avoir plein d’argent. Comme vous pouvez le voir, c’est tout de même très simpliste et assez bizarre.
Chaque histoire est très courte et dure environ une moitié de page car celle-ci sortait dans un hebdomadaire japonais au rythme de 2 pages par semaine. On retrouve donc l’ensemble réunit ici en un seul tome et regroupant les parutions de l’année 2001-2002.
J’ai vraiment bien aimé, même si je ne sais pas si le lire en une fois est vraiment une bonne idée tant les histoires illogiques s’accumulent rapidement et perdent un peu le lecteur par son absence de continuité. Le dessin varie du très mignon (les héroïnes sont vraiment jolies avec leurs grands yeux et leur design si particulier) au très symbolique selon ce que l’auteur veut exprimer et cela passe très bien à chaque fois. Coté histoire, en gros, il n’y en a pas, vu que ça se lit comme un Boule et Bill ou un Gaston mais avec un suivi chronologique qui décrit une année japonaise pour parler des humeurs de Dejiko, des coutumes du pays … Ou pour ne rien parler du tout. C’est très particulier car le récit est vraiment sans queue ni tête, basé sur des délires de l’auteur mais c’est ce qui fait son charme.

Par NOFL'R, le 7 octobre 2003

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