Destroy Fantaisies

Résumé de l'album Destroy Fantaisies

Il était une fois, au fin fond de la forêt, un sale gamin qui ne voulait pas dormir!
Son père, qui en avait franchement marre de ses betises, décida de lui raconter quelques petites histoires afin de le persuader de dormir...

Par Matt, le NC

Notre avis sur l'album Destroy Fantaisies

Nous avons affaire ici à une perle rare!
Nous retrouvons dans cette bande dessinée pas moins de 11 auteurs qui ont accepté de voir leurs séries massacrées au nom de la bonne cause!
En effet, Herlé met en scène ici des séries comme Les Ailes du Phaéton, Kookaburra, Argyll de Maracande ou encore Mortepierre et bien d'autres, afin de créer de petites histoires à mourir de rire!
Le lecteur sera donc confronté aux amours torrides de Lanfeust et d'Hébus, à la vérité inimaginable sur les origines troublantes d'Argyll ou encore à l'impressionnante phobie de Mycroft.
Chaque dessinateur reprenant sa propre série, il ne devrait pas y avoir de grands changements sur le style de chacun et pourtant ! Certains auteurs comme Crisse ou Glaudel changent leur style afin de rendre leurs personnages plus attrayants, plus comiques.
En bref, beaucoup d'auteurs, de séries et d'idées, menées d'une main de maître par un seul homme, Herlé,qui à su combiner le savoir faire de chacun afin d'en faire une bd originale et qui ne manque pas de piquant !!! (Attention, une heure et demie d'attente à partir de ce point, pour le Space Mountain! Je vous aurais prévenu!)

Par , le

Nos interviews liées

Interview de Jean-Louis Mourier

Sceneario : Comment es-tu arrivé dans le monde de la bande dessinée ?
Mourier : A la base, j'ai toujours voulu en faire. Mon père était un grand lecteur de bande dessinée et j'ai grandi entouré de beaucoup de bandes dessinées et comme je l'ai déjà dit dans d'autres interviews, il y avait un peintre officiel de la marine, Jean-Louis Paguenaud, qui habitait au dernier étage de l'immeuble de mes grands-parents à Limoges et qui payait son loyer en tableau. Mon père a attrapé le virus du dessin et de la peinture avec lui.

Sceneario : Ton père dessinait aussi ?
Mourier :
Ce n'était pas son travail, il était pharmacien mais il dessinait très bien et il adorait la bande dessinée et les illustrations et quand en tant que gamin, tu grandis au milieu de tout ça, tu as le terreau qu'il faut (rires).

Sceneario : Et comme études ?
Mourier :
Je suis entré aux arts appliqués au niveau de la seconde [...]

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