DEATH
Temps fort de la vie

Alors que Foxglove, une chanteuse, est en tournée sa petite amie, Hazel est resté dans leur propriété de Los Angeles avec son enfant Alvie. Mais un drame se produit.
Death vient rendre une vsite à Hazel. Foxglove va devoir revenir au foyer. Elle va avoir un choix à faire…

Par berthold, le 1 janvier 2001

Publicité

Notre avis sur DEATH #2 – Temps fort de la vie

Death fait partie de la famille des Endless, elle est une des sœurs de Morphée,Dream, le personnage principal de la série The Sandman.

Neil Gaiman lui avais consacré une mini-série intitulé  La vie…à quel prix,où nous voyons Death qui pendant une journée se comportait comme un être humain. Ce récit était fort réussi d’ailleurs : il y ressortait une telle émotion de ces pages. Et puis, le dessinateur Chris Bachalo y faisait un travail vraiment magnifique.

Neil Gaiman vu le succès de la jeune fille aux allures gothiques propose une deuxième mini-série.
Cette fois-ci, nous allons y retrouver Hazel et Foxgloves, deux femmes qui s’aiment et dont l’une a un petit garçon, Alvin. Hazel était une cuisinière réputée tandis que Foxglove est une jeune star montante de la chanson. Ces deux personnages, vous les avez déjà croisé aussi dans la série The Sandman.
Ici, un drame va se jouer autour d’Hazel et d’Alvie. Un drame qui va être difficile à vivre. Tandis que Foxglove, de son coté, va aussi avoir à vivre un autre drame et va devoir faire des choix primordiaux.
Bien sur, je ne vais pas rentrer dans le détail sans risquer de dévoiler ce qui se déroule ici.
Ce récit est très fort, très poignant au niveau du sujet sensible que Gaiman met en scène. L’auteur aborde aussi la difficulté de mener une vie publique et privée, mais aussi il aborde le sujet de la fidélité et de l’amour. Le ton de ce second tome est bien différent de celui du précédent.
Mais Neil Gaiman est vraiment un excellent conteur. Il a une telle facilité à vous raconter des sujets sensibles, personnels. Des choses qui vont vous toucher, forcément.

Gaiman retrouve son compère du premier tome Chris Bachalo, mais seulement sur 37 pages ! Mais 37 pages assez belles, assez originales dans la mise en pages. Il donne à ses planches un ton poétique, magique parfis empreint de merveilleux. Et puis, il y a la première apparition de Death, superbe sur le canapé avec son parapluie.
Par la suite, c’est son encreur Mark Buckingham qui prends le relais et qui conservera l’esprit ainsi que le style de Bachalo. mais sans la touche de génie de l’auteur canadien.

Ce tome 2 de Death est aussi réussi que le tome précédent et il sera vous toucher au plus profond de vous mêmes.
Vous verrez, vous ne verrez pas la Mort comme avant.

Par BERTHOLD, le 15 juin 2009

Publicité