DC UNIVERSE
La vengeance des Green Lantern

Lors d’une remise de médailles sur la base Edwards (U.S.A.), un vaisseau spatial s’ écrase sur le site. Hal Jordan se précipite pour voir d’où provient ce vaisseau. Et en pénétrant dans le poste d epilotage, il est surpris d’y trouver un green lantern : Tomar Tu, du secteur 2813. Mais le plus inquiétant, c’est que ce lantern devrait être mort : tué par Hal Jordan il y a quelques années. 

San Francisco, à la tour des Titans.
Cyborg revient "à la vie" un an après. il va découvrir une nouvelle équipe de Titans qui risque d ele surprendre…

Par berthold, le 1 janvier 2001

Notre avis sur DC UNIVERSE #23 – La vengeance des Green Lantern

La revue DC Universe débute la saga "Un an plus tard" avec les deux récits tirés de Green Lantern 10 et 11 et celle de Teen Titans 34.
C’est donc une bonne occasion de se lancer dans la lecture de ce numéro, car nous y trouvons de nouveaux départs dans les séries. 
Avec Green Lantern,  toujours écrit par l’ omniprésent Geoff Johns, nous découvrons un nouveau dessinateur, Ivan reis dont nous avions pu voir le talent dans les pages de Superman. Cette nouvelle saga nous fait revoir le passé d’ Hal Jordan et retrouver une nouvelle saga cosmique où nous croiserons la route des Manhunters ainsi que le groupe Global Guardians.
Tiens, nous allons même voir un héroïne française, Crimson Fox !
Cette nouvelle aventure démarre fort.

Avec les Teen Titans, c’est plus calme, certes. Cyborg se réveille d’un long coma (si je puis dire pour quelqu’un d’ à moitié robot) et découvre une nouvelle équipe. Bien sur, il y a Robin qui est revenu aussi dans l’ équipe après son voyage d’un an avec Bruce Wayne et Dick Grayson. ce récit signé Johns et illustré par Tony Daniel amène son lot de surprise surtout lors d e la dernière page.

nous avons droit aussi au début d’une saga en 6 parties sorties des pages de JLA Classified  avec ici le n°#10. Ecrit par Warren Ellis et illustré par le grand Butch "Mandalay, Métal" Guice. Ce dessinateur montre toute la puissance de son graphisme dans ces pages. Il suffit de voir la présence de son Batman. de plus, avec Ellis au scénario cela risque d efaire des étincelles.

Si vous ne vous êtes pas encore plongé dans la lecture de cette revue, c’est l’occasion rêvée.

Par BERTHOLD, le 21 juin 2007

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