DC SAGA HORS SERIE
Volume 2

H’el, qui a blessé Superboy, réussit à convaincre Kara Zor-El de rejoindre sa croisade. Superman emmene Superboy dans sa Forteresse de Solitude pour le soigner. Il lui applique son emblème pectoral pensant que la technologie kryptonienne pourra le rétablir. Mais, comme c’est un clone et que son ADN n’est pas totalement kryptonien, le jeune garçon garde l’armure de Superman sur lui.
H’el prend le contrôle de la Forteresse pendant que Kal El et son camarade se rendent à la prison conçue pour garder un seul prisonnier : Lex Luthor. Superman compte bien l’interroger pour avoir son avis sur la situation actuelle…

 

Par berthold, le 24 août 2013

Notre avis sur DC SAGA HORS SERIE #2 – Volume 2

Ce nouveau numéro de DC Saga hors-série continue la saga He’l on Earth (H’el sur Terre). On y trouve les numéros 15 de Superman, les 16 de Superboy, Supergirl et Superman ainisi que le Superboy Annual 1.

L’intrigue est toujours aussi prenante et passionnante. Lobdell, De Falco et Johnson maitrisent le sujet. Même si le contenu a quelques longueurs, le récit mérite tout de même notre attention. Nous en apprenons un peu plus sur Superboy, sur H’el et sur Supergirl. Nous voyons que l’arrivée de H’el cache autre chose, qu’un autre danger pointe. Nous assistons à l’arrivée d’autres membres de la Justice League comme le Batman, Flash, Cyborg et forcément, Wonder Woman. Ceux qui lisent DC Saga, savent que l’amazone et Kal El ont une liaison. L’action se déplace dans d’autres lieux inconnus, permettant à Superman et Superboy de faire plus ample connaissance. Ceux qui aiment les rencontres musclées, pleine de suspense et de rebondissements en auront quand même pour leur argent dans ce divertissement de qualité.

Graphiquement, c’est toujours de l’excellent ouvrage, surtout quand Kenneth Rocafort ou Mahmud Asrar sont derrière la planche. Cette saga nous donne tout de même quelques beaux moments anthologiques et quelques scènes assez spectaculaires.

Bref, j’attends impatiemment la suite maintenant pour découvrir comment tout cela se termine.

 

Par BERTHOLD, le 24 août 2013

Publicité