[dBD]
Avril 2006

SOMMAIRE

P 2 – Avant-Première
Les planches s’encrent.
P 8 – Actualités & évènements.
P 12 – SFAR/ Rencontre
P 22 – Nouveau Regard ( Critiques des jeunes Labels)
P 24 – Sélection francophone
P 32 – Stars comics
(Le tableau des étoiles)

P 34 – Coups de coeur comics
P 40 – Gotlib / Rencontre
P 46 – Evènement
(Les Brigades du tigre)
P 64 – Profil consacré à Vincent, l’auteur de l’Albatros
P 66 – Yslaire / Interview
P 76 – Enquête/ Les auteurs du studio Disney
P 82 – Derib / Rencontre
P 96 – La fiche de Tibéri consacrée à Martial

Par MARIE, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur [dBD] #1 – Avril 2006

Nouveau mag spécialisé en bande dessinée chez les kiosquiers pour le mois d’avril.
C’est bien un numéro 1 pourtant il est à l’identique du feu Bulldozer et porte le même nom que l’ex feu ressuscité DBD qui précéda l’ex Bulldozer, qui dura 27 numéros et dont Frédéric Bosser était déjà à l’origine. Vous suivez ? 

Bon, sorti du méli-mélo des noms, titres et images, ce magazine nouveau s’ajoute aux rares mensuels encore en « vie » dans le milieu de la presse bd et essaie de tenir la barre.
Au vue de la couv’, force est de constater que le mois d’avril sera un mois Bleu, axé sur Sfar, « Les brigades du tigre », et Bernard Yslaire avec sa nouveauté chez Futuropolis. (Bodoï, DBD ? .. ) – ce sont les sujets chez tous les mags et c’est dommage compte tenu de la très riche actualité du milieu actuellement !
Il faut pourtant reconnaître la part d’originalité au mensuel notamment dans le cadre de son interview de Bernard Yslaire (décidément ! ) dont le rédac chef n’a pas apprécié le dernier opus. Il mène donc un entretien un peu provoc cherchant à soutirer de l’auteur des éléments défavorisants. (Spoiler : il n’y arrive pas.)
L’autre gros dossier revient à Derib qui nous donne les justifications nécessaires pour nous aider à digérer la fin de la série "Buddy Longway". Au final, ce n° est moins sympa que le précédent Bulldozer dont le dossier sur Emmanuel Guibert était excellent mais qui reste assez intéressant malgré tout et qui donne envie de poursuivre quoi qu’il en soit. 

Ah j’allais oublier de parler d’un maître. J’ai nommé Marcel Gotlib qui se donne au jeu des questions et qui donne dans l’humour politique… entre autre, quel bonheur !  A bientôt…

Par MARIE, le 7 avril 2006

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