DARK HORSE PRESENTS
Issue 1

Pour son grand retour Dark Horse Presents nous offre 80 pages avec du Chadwick (Concrete), du Chaykin (Marked Man), du Carla Speed McNeil (Finder), Du Corben (Murky World), du Gulacy (Star Wars), du Neal Adams (Blood), du Harlan Ellison, Du Michael T Gilbert (Mr. Monster), du Frank Miller (Xerxes, la suite de 300) etc.

Par fredgri, le 16 mai 2011

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Notre avis sur DARK HORSE PRESENTS #1 – Issue 1

Le moins qu’on puisse dire c’est que Dark Horse ne lésine pas sur les moyens. En effet, pour ce premier numéro de la nouvelle formule de Dark Horse Presents ils ont invité une pléthore de grands noms, que ce soit le grand retour de Neal Adams, la série de Corbe, le retour de Concrete et l’annonce très officiellement de Xerxes de Miller, ce numéro impose une qualité et une diversité indéniable.
Bon au milieu, et ceci est dit de façon très subjective évidemment, on a droit tout de même aux planches très laides de Chaykin et de Gulacy, deux artistes qui ont du mal à retrouver leur flamme d’antan. Néanmoins c’est aussi le moyen d’insister sur le travail de Carla Speed McNeil trop injustement boudé par le grand public alors qu’elle a créé l’une des séries les plus atypiques du moment, Finder (On aura d’ailleurs l’occasion de revenir sur Finder, ssur Sceneario) !

Bon, le numéro se lit peut-être un peu vite, c’est vrai. Malgré tout, c’est aussi très passionnant, on a tout de même droit à une très intéressante interview de Miller himself, ainsi qu’une nouvelle d’Harlan Ellison.

On annonce d’emblée des gens comme Paul Pope, Jim Steranko (avec enfin la sortie de Red Tide remanié) et bien d’autres? Ne loupez donc pas le coche !

Signalons juste que Dark Horse Presents, dans sa première version fut le premier magazine de Dark Horse il y a 25 ans, qu’il y a eu 157 numéros qui ont vu la naissance de Sin City par Miller, des Next-Men de Byrne et de bien d’autres créations. Récemment le magazine a eu une seconde vie par le biais du Myspace de DH (qui ont donné lieu a une demi douzaine de recueils). Ce retour est donc à la fois un retour historique, mais aussi le moyen pour Dark Horse de bien montrer qu’ils sont là et qu’ils peuvent toujours fédérer les talents. A bon entendeur…

Par FredGri, le 16 mai 2011

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