DANS LES VILLAGES
La déroute des synapses

Dzino suit, à distance,  le professeur Wom, P’tit Louis jusqu’à Bézié. Mais à pied, cela fait du chemin.  Alors, que dans la ville il se met en planque derrière un monument pour surveiller Wom et ses acolytes, une rencontre va changer son destin : une femelle du nom de Bibie, infirmière, le reconnait et se jette dans ses bras. Il semblerait que Dzino et elle furent amants dans le passé. Et le redeviennent. Mais Dzino n’en a aucun souvenir…

Par berthold, le 1 janvier 2001

Notre avis sur DANS LES VILLAGES #7 – La déroute des synapses

La série Dans les Villages, imaginée par Max cabanes, apporte à chaque tome de nouvelles surprises, une nouvelle lecture. Cette série si particulière et si personnelle est des plus intéressantes : soit à cause de son graphisme, soit à cause de son ton, son univers ou de son mode de narration. Le lecteur est emporté dans les pages de ce récit, parfois il se perd mais en ressort toujours enthousiasmé. 

Cette fois-ci, l’auteur introduit l’amour dans son récit . L’amour entre Bibie et Dzino qui va être physique, surtout (et dérangeant pour les voisins). Et puis, il y a ce suspense : est -ce que Dzino rêve cela, se trouve-t-il pris dans un complot lui qui ne se rappelle pas cette Bibie ?? Mais il y aussi cette quête qui se poursuit pour le "la" original que le professeur Wom et son collègue essaye de retrouver alors que ce n’est que…(mais ça c’est à vous de le découvrir, amis lecteurs). Je ne peux pas tout vous raconter. La série Dans les villages se dévore, s’apprécie, se découvre et se savoure. Et ça, je vous invite vivement à visiter les pages de cette série.

Max cabanes en plus d’être un conteur de talent , est aussi un illustrateur, un dessinateur hors-pair. Son style fait mouche à chaque fois. C’est un superbe travail qui enchante notre vision. C’est un plaisir pour les yeux. Moi, je suis fan et j’en redemande.

Allez, je vous laisse admirer la couverture qui vous en dit long sur ce qui attend Dzino dans ce tome 7 toujours aussi réussi.

Vivement la suite…

Par BERTHOLD, le 4 février 2008

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