DAIGO, SOLDAT DU FEU
Tome 8

Daigo est arrivé au concours de sauveteur juste après avoir passé la uit entière à combattre un incendie, il n’a pas pu dormir et n’est donc en position de force dans les épreuves. Les deux premières sont d’ailleurs des exemples de médiocrité. Mais malgré cela, il ne veut pas abandonner, et continue le concours, faisant preuve d’une volonté de fer…
Va t-il réussir des épreuves malgré son état de fatigue ?

Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur DAIGO, SOLDAT DU FEU #8 – Tome 8

Tout est possible, c’est ce qu’on est obligé de dire devant une telle volonté, mais cela suffira t-il pour réussir le concours de sauveteurs où certains, après trois tentatives, peinent terriblement à réussir les épreuves… Vous ne le saurez qu’en lisant cet opus et cette série qui franchement à mon avis mérite un détour approfondi.
Je suivais déjà les éditions Kabuto dans leurs choix éditoriaux, et le choix de cette nouvelle série ne m’a pas déçu une nouvelle fois. Je ne peux pas savoir si le succès est au rendez-vous pour ce titre, mais leurs choix se sont révélés intéressants pour ma part en tant que simple lecteur soucieux de me pencher vers des séries qui diffèrent quelque peu des standards actuels. On voit que la vie quotidienne et des histoires ancrées dans la réalité reviennent sur le devant de la scène, et je pense que cela n’est pas un mal dans la surproduction actuelle composée de titres sur des thèmes un peu trop redondants à mon goût.
Question histoire, malgré le fait qu’il n’y a quasiment pas d’actions mis à part celles des épreuves, on se retrouve ici dans un tome captivant, qui accroche le lecteur sur le personnage principal et son grand rival, lui donnant envie de savoir ce qu’il va résulter du concours. Question graphisme, il y a parfois des couacs dans les mouvements, surtout pendant la course, que je ne trouve pas tellement bien fichues, mais globalement ces petits soucis disparaissent bien vite devant la qualité de l’ensemble.
En résumé, une série que je recommande activement.

Par Siam l'Archiviste, le 10 novembre 2005

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